Finance Innovation et Truffle Capital, en partenariat avec le Groupe BPCE, Sopra Steria et Sopra Banking Software dévoilent les résultats du troisième Palmarès Fintech100. Il révèle les dernières tendances d’innovation et d’évolution du secteur.
L’ARRIVÉE À MATURITÉ DU SECTEUR ET LA CONSOLIDATION
La précédente édition du palmarès Fintech 100 faisait état de la forte dynamique du secteur dans un contexte de raréfaction des fonds avec un activité en hyper croissance de +80%. Cette année, cette raréfaction se traduit par des montants levés très inférieurs et une stagnation des montants cumulés levés par les lauréats à 6 Mds€. Mais cette tendance n’enraye ni la croissance du secteur qui se poursuit à un rythme soutenu mais plus modéré que l’année précédente à +35% (pour les 61 entreprises présentes dans les éditions 2024 et 2023), ni la dynamique de recrutement puisque les effectifs continuent de grandir et s’approchent cette année de 15 000.
Le secteur semble ainsi se diriger vers une forme de maturité qui s’illustre par l’importance grandissante accordée à la notion de rentabilité des capitaux investis et par la consolidation en cours du secteur. En témoigne les 10% de fintechs du palmarès 2023 sortis pour cause de cessation d’activité ou d’acquisition. Cette tendance pourrait se poursuivre dans les prochaines années car 45% des entreprises envisagent une opération de croissance externe ou de fusion.
L’ADOPTION MASSIVE DE L’IA ET LA RÉPONSE AUX ENJEUX DE DÉVELOPPEMENT DES FINTECHS
Alors que l’année 2023 se caractérisait par un faible recours à l’IA, ~50% l’utilisent cette année comme une technologie essentielle, en particulier pour le marketing (création de contenus, campagne, personnalisation…) et seulement 7% considèrent que l’adoption de l’IA réduira les effectifs. Pour preuve, la quasi-totalité des fintechs prévoient de recruter dans les 6 prochains mois.
Les besoins dans le domaine commercial et marketing constituent d’ailleurs la raison principale qui motive les fintechs à se tourner vers des partenaires externes. Qu’il s’agisse du recrutement d’administrateurs indépendants ou de la signature de partenariats avec des acteurs institutionnels ou des grands groupes, les motivations commerciales, la recherche de nouveaux canaux d’acquisition et le marketing y sont placées au premier plan. D’ailleurs la baisse de la part du CA consacré à la R&D et à la formation pourrait illustrer cette réorientation des ressources vers le domaine commercial.
Pour financer la recherche et l’innovation, plus de 50% des fintechs ont déjà eu recours à des Crédits d’Impôt Recherche et à des Crédits d’Impôts Innovation. Mais les conditions d’obtention de ces aides et les démarches à mener nécessitent d’y accorder les ressources nécessaires et une grande partie des entreprises souhaiteraient être accompagnées pour cela.
UNE AMBITION INTERNATIONALE CATALYSÉE PAR LES ENJEUX DE RÉGLEMENTATION
En 2024, les fintechs s’internationalisent, plus particulièrement vers les pays de l’UE. Cette année, 68% des entreprises disposent d’une couverture internationale. L’Europe reste la destination privilégiée avec la moitié des entreprises présentes en Europe de l’Ouest, 40% au Benelux et 33% dans la péninsule ibérique. On note également une présence en Amérique du Nord (20%), en Asie Pacifique (12%) et en Amérique Latine (11%). À l’inverse, seulement 4% des fintechs sont présentes au Moyen-Orient, mais 13% ont le projet de s’y implanter.
Ces ambitions imposent aux entreprises d’y allouer des ressources conséquentes. On constate une implication croissante des fintechs dans le domaine réglementaire, avec plus de 80% des entreprises qui y allouent des ressources et la moitié qui perçoivent la conformité et l’évolution de la réglementation particulièrement riche en Europe comme leur défi majeur.
DE NOMBREUX MOUVEMENTS AU SEIN DU FINTECH100
Le Palmarès connaît cette année une profonde recomposition et le segment BtoB constitue désormais 72% du classement (+15pts). 39 nouvelles sociétés entrent au classement parmi lesquelles Pigment qui prend d’emblée la 10ème place et 10% de celles de l’édition précédente sortent en raison de cessation d’activité ou d’acquisition parmi lesquelles l’assureur en ligne Luko, acquis par Allianz. La fintech Qonto qui compte actuellement 450.000 clients et s'est fixé la barre du million de clients à fin 2025, se hisse à la tête du palmarès.
L'enquête et la collecte d'information ont été réalisés entre le 1er février le 5 avril 2024 auprès des startups de la Fintech et Assurtech françaises.
L’ARRIVÉE À MATURITÉ DU SECTEUR ET LA CONSOLIDATION
La précédente édition du palmarès Fintech 100 faisait état de la forte dynamique du secteur dans un contexte de raréfaction des fonds avec un activité en hyper croissance de +80%. Cette année, cette raréfaction se traduit par des montants levés très inférieurs et une stagnation des montants cumulés levés par les lauréats à 6 Mds€. Mais cette tendance n’enraye ni la croissance du secteur qui se poursuit à un rythme soutenu mais plus modéré que l’année précédente à +35% (pour les 61 entreprises présentes dans les éditions 2024 et 2023), ni la dynamique de recrutement puisque les effectifs continuent de grandir et s’approchent cette année de 15 000.
Le secteur semble ainsi se diriger vers une forme de maturité qui s’illustre par l’importance grandissante accordée à la notion de rentabilité des capitaux investis et par la consolidation en cours du secteur. En témoigne les 10% de fintechs du palmarès 2023 sortis pour cause de cessation d’activité ou d’acquisition. Cette tendance pourrait se poursuivre dans les prochaines années car 45% des entreprises envisagent une opération de croissance externe ou de fusion.
L’ADOPTION MASSIVE DE L’IA ET LA RÉPONSE AUX ENJEUX DE DÉVELOPPEMENT DES FINTECHS
Alors que l’année 2023 se caractérisait par un faible recours à l’IA, ~50% l’utilisent cette année comme une technologie essentielle, en particulier pour le marketing (création de contenus, campagne, personnalisation…) et seulement 7% considèrent que l’adoption de l’IA réduira les effectifs. Pour preuve, la quasi-totalité des fintechs prévoient de recruter dans les 6 prochains mois.
Les besoins dans le domaine commercial et marketing constituent d’ailleurs la raison principale qui motive les fintechs à se tourner vers des partenaires externes. Qu’il s’agisse du recrutement d’administrateurs indépendants ou de la signature de partenariats avec des acteurs institutionnels ou des grands groupes, les motivations commerciales, la recherche de nouveaux canaux d’acquisition et le marketing y sont placées au premier plan. D’ailleurs la baisse de la part du CA consacré à la R&D et à la formation pourrait illustrer cette réorientation des ressources vers le domaine commercial.
Pour financer la recherche et l’innovation, plus de 50% des fintechs ont déjà eu recours à des Crédits d’Impôt Recherche et à des Crédits d’Impôts Innovation. Mais les conditions d’obtention de ces aides et les démarches à mener nécessitent d’y accorder les ressources nécessaires et une grande partie des entreprises souhaiteraient être accompagnées pour cela.
UNE AMBITION INTERNATIONALE CATALYSÉE PAR LES ENJEUX DE RÉGLEMENTATION
En 2024, les fintechs s’internationalisent, plus particulièrement vers les pays de l’UE. Cette année, 68% des entreprises disposent d’une couverture internationale. L’Europe reste la destination privilégiée avec la moitié des entreprises présentes en Europe de l’Ouest, 40% au Benelux et 33% dans la péninsule ibérique. On note également une présence en Amérique du Nord (20%), en Asie Pacifique (12%) et en Amérique Latine (11%). À l’inverse, seulement 4% des fintechs sont présentes au Moyen-Orient, mais 13% ont le projet de s’y implanter.
Ces ambitions imposent aux entreprises d’y allouer des ressources conséquentes. On constate une implication croissante des fintechs dans le domaine réglementaire, avec plus de 80% des entreprises qui y allouent des ressources et la moitié qui perçoivent la conformité et l’évolution de la réglementation particulièrement riche en Europe comme leur défi majeur.
DE NOMBREUX MOUVEMENTS AU SEIN DU FINTECH100
Le Palmarès connaît cette année une profonde recomposition et le segment BtoB constitue désormais 72% du classement (+15pts). 39 nouvelles sociétés entrent au classement parmi lesquelles Pigment qui prend d’emblée la 10ème place et 10% de celles de l’édition précédente sortent en raison de cessation d’activité ou d’acquisition parmi lesquelles l’assureur en ligne Luko, acquis par Allianz. La fintech Qonto qui compte actuellement 450.000 clients et s'est fixé la barre du million de clients à fin 2025, se hisse à la tête du palmarès.
Marina Ferrari, secrétaire d’État chargée du Numérique déclare : « La fintech française confirme son excellence cette année encore. Le Palmarès Fintech100 dresse le portrait d’une filière résiliente, et ce malgré la raréfaction des financements en 2023. Collectivement, nous pouvons nous réjouir de cette réussite, fruit d’une politique d’innovation volontariste. »
Maximilien Nayaradou, Directeur Général de Finance-Innovation déclare : « Trois grandes leçons à tirer de ce Fintech 100 2024 : consolidation, création d’emplois et crainte de l’incertitude réglementaire. En effet, la consolidation du secteur a déjà commencé, 10% des fintechs présentes dans le Fintech100 2023 ont disparu du classement par rachat pour la plupart par des grands groupes ou des autres fintechs. Si la concurrence reste très rude : 39 nouveaux entrants dans le Fintech100 en 2024, la croissance de l’emplois reste très soutenue : 8 fois plus élevé que dans l’ensemble de l’économie française (5,2% de croissance de l’emplois contre 0,6%). Les fintechs en fin de compte craignent plus les incertitudes de l’évolution de la réglementation que la concurrence, le ralentissement économique, la diminution des financements disponibles et la pénurie de talent. »
Bernard-Louis Roques, Co-fondateur et Directeur Général de Truffle Capital ajoute : « Cette 3ème édition du Palmarès Fintech100 marque le début d’une période nouvelle pour les fintechs. Derrière l’arrivée à maturité du secteur se joue en réalité une concurrence d’autant plus vive que l’afflux massif de capitaux ne met plus le secteur sous perfusion. Cette compétition se joue sur le terrain de la rentabilité des capitaux investis et favorise l’émergence d’entreprises à la croissance rentable. Si de nouveaux acteurs émergent, des acteurs qui ne sont déjà plus des startups, bientôt plus des scaleups mais en passe de devenir des ETI, s’installent durablement dans le classement. »
Laurent Monéger, Directeur Innovation du Groupe BPCE ajoute : « Cette nouvelle édition du palmarès confirme les tendances de fond que BPCE observe depuis plusieurs mois, grâce à sa proximité avec l’écosystème des fintechs et assurtechs. Et elle démontre la fin d’une 1ère phase du marché. Nous pensons que la prochaine sera marquée par une ouverture accrue, et une collaboration encore plus forte entre les différents types d’acteurs. Un schéma de marché dans lequel BPCE s’inscrira résolument. »
Mung Ki WOO, COO – Services Financiers du Groupe Sopra Steria, conclut : « Le classement Fintech100 2024 offre une vision stratégique de l'écosystème fintech français. En se concentrant sur les tendances clés telles que la transition vers le BtoB, l’usage prédominant de l’IA ainsi que la prise en compte du faisceau de réglementations liées au partage des données personnelles entre les acteurs économiques en Europe, ce rapport donne des clés de lecture du secteur. Alors que nous nous positionnons à la fois comme partenaire de choix auprès des institutions financières et comme investisseur auprès des fintechs, disposer d'une lecture aussi claire du marché est crucial. »
Maximilien Nayaradou, Directeur Général de Finance-Innovation déclare : « Trois grandes leçons à tirer de ce Fintech 100 2024 : consolidation, création d’emplois et crainte de l’incertitude réglementaire. En effet, la consolidation du secteur a déjà commencé, 10% des fintechs présentes dans le Fintech100 2023 ont disparu du classement par rachat pour la plupart par des grands groupes ou des autres fintechs. Si la concurrence reste très rude : 39 nouveaux entrants dans le Fintech100 en 2024, la croissance de l’emplois reste très soutenue : 8 fois plus élevé que dans l’ensemble de l’économie française (5,2% de croissance de l’emplois contre 0,6%). Les fintechs en fin de compte craignent plus les incertitudes de l’évolution de la réglementation que la concurrence, le ralentissement économique, la diminution des financements disponibles et la pénurie de talent. »
Bernard-Louis Roques, Co-fondateur et Directeur Général de Truffle Capital ajoute : « Cette 3ème édition du Palmarès Fintech100 marque le début d’une période nouvelle pour les fintechs. Derrière l’arrivée à maturité du secteur se joue en réalité une concurrence d’autant plus vive que l’afflux massif de capitaux ne met plus le secteur sous perfusion. Cette compétition se joue sur le terrain de la rentabilité des capitaux investis et favorise l’émergence d’entreprises à la croissance rentable. Si de nouveaux acteurs émergent, des acteurs qui ne sont déjà plus des startups, bientôt plus des scaleups mais en passe de devenir des ETI, s’installent durablement dans le classement. »
Laurent Monéger, Directeur Innovation du Groupe BPCE ajoute : « Cette nouvelle édition du palmarès confirme les tendances de fond que BPCE observe depuis plusieurs mois, grâce à sa proximité avec l’écosystème des fintechs et assurtechs. Et elle démontre la fin d’une 1ère phase du marché. Nous pensons que la prochaine sera marquée par une ouverture accrue, et une collaboration encore plus forte entre les différents types d’acteurs. Un schéma de marché dans lequel BPCE s’inscrira résolument. »
Mung Ki WOO, COO – Services Financiers du Groupe Sopra Steria, conclut : « Le classement Fintech100 2024 offre une vision stratégique de l'écosystème fintech français. En se concentrant sur les tendances clés telles que la transition vers le BtoB, l’usage prédominant de l’IA ainsi que la prise en compte du faisceau de réglementations liées au partage des données personnelles entre les acteurs économiques en Europe, ce rapport donne des clés de lecture du secteur. Alors que nous nous positionnons à la fois comme partenaire de choix auprès des institutions financières et comme investisseur auprès des fintechs, disposer d'une lecture aussi claire du marché est crucial. »
Qonto - Younited Credit - Alan - Spendesk - Tiime - Pennylane - Indy - Smile&Pay - Cashbee -Kard - Leocare - Finary - Mon Petit Placement - Yomoni
À propos de FINANCE INNOVATION
Créé par l’État et sous l’impulsion de la Place financière de Paris en 2007, Finance Innovation est un Pôle de compétitivité mondial, d’intérêt général, tiers de confiance pour ses membres et son écosystème. Il est dédié à l’accompagnement et à la croissance des projets innovants pour la compétitivité de l’industrie financière française et la création d’emplois en France. Fort d’un réseau de plus de 600 membres (Pouvoirs publics, Collectivités territoriales, Grandes entreprises, TPE/PME, Startups, Fintechs, Académiques, Investisseurs…), Finance Innovation fédère un écosystème large à travers 7 filières stratégiques : Banque, Assurance, Gestion d’Actifs, Gestion et Finance d’entreprise, Immobilier/Smart City, Finance durable et solidaire et Blockchain et Finance Décentralisée, . FINANCE INNOVATION labellise des projets innovants en vue de les accompagner dans la structuration de partenariats commerciaux et capitalistiques. Plus de 600 projets ont été labellisés à ce jour et ont bénéficié de plus d’1 milliard de financements privés et de plus de 80 millions d’euros de financements publics (BPI, FUI, PIA,etc.).
À propos de TRUFFLE CAPITAL
Fondée en 2001, Truffle Capital est une société de Venture Capital européenne indépendante, spécialisée dans les technologies de rupture des secteurs IT (Fintech et Insurtech) et des Sciences de la Vie (Medtech et Biotech). Truffle Capital a pour mission d’accompagner la création et le développement de jeunes entreprises innovantes, capables de devenir les leaders de demain. Présidée par Patrick Kron et dirigée par le Docteur Philippe Pouletty et Bernard-Louis Roques, Co-fondateurs et Directeurs Généraux, Truffle Capital gère 600 M€ d’actifs. Elle a levé plus de 1,1 Md€ depuis sa création et a accompagné plus de 75 entreprises dans les secteurs des technologies digitales et des sciences de la vie.
À propos de GROUPE BPCE
Le Groupe BPCE est le deuxième acteur bancaire en France. Avec 100 000 collaborateurs, il est au service de 35 millions de clients dans le monde, particuliers, professionnels, entreprises, investisseurs et collectivités locales. Il est présent dans la banque de proximité et l’assurance en France avec ses deux grands réseaux Banque Populaire et Caisse d’Epargne ainsi que la Banque Palatine et Oney. Il déploie également au niveau mondial les métiers de gestion d’actifs et de fortune, avec Natixis Investment Managers, et de banque de grande clientèle avec Natixis Corporate & Investment Banking. La solidité financière du Groupe est reconnue par quatre agences de notation financière avec les notes LT de rang senior préféré suivantes : Moody’s (A1, perspective stable), Standard & Poor’s (A, perspective stable), Fitch (A+, perspective stable) et R&I (A+, perspective stable).
À propos de SOPRA STERIA
Sopra Steria, acteur majeur de la Tech en Europe avec 56 000 collaborateurs dans près de 30 pays, est reconnu pour ses activités de conseil, de services numériques et de solutions. Il aide ses clients à mener leur transformation digitale et à obtenir des bénéfices concrets et durables. Le Groupe apporte une réponse globale aux enjeux de compétitivité des grandes entreprises et organisations, combinant une connaissance approfondie des secteurs d’activité et des technologies innovantes à une approche résolument collaborative. Sopra Steria place l’humain au centre de son action et s’engage auprès de ses clients à tirer le meilleur parti du digital pour construire un avenir positif. En 2023, le Groupe a réalisé un chiffre d’affaires de 5,8 milliards d’euros.
À propos de SOPRA BANKING SOFTWARE
Sopra Banking Software (SBS) est un leader mondial de technologies financières qui aide les banques et les institutions financières à réinventer leur manière de fonctionner dans un monde de plus en plus numérique. SBS est un partenaire de confiance de plus de 1 500 institutions financières et prêteurs à grande échelle, comme Santander, Société Générale, KCB Bank, Kensington Mortgages, Mercedes Benz ou encore Toyota, dans 80 pays à travers le monde. Sa plateforme cloud offre à ses clients une architecture composable pour numériser les opérations, allant de la banque aux prêts, et de la conformité aux paiements. Avec 5 000 employés dans 50 bureaux, SBS est reconnue comme l'une des dix principales entreprises européennes de technologies financières par IDC et comme un leader dans l'Univers Omdia : Plates-formes bancaires numériques. SBS est une filiale du leader européen du conseil numérique, Sopra Steria (EPA : SOP), une entreprise de 50 000 personnes qui génère un chiffre d'affaires annuel d'environ 5,1 milliards d'euros. SBS a son siège à Paris, en France.