Inarix, plateforme d'IA permettant d'analyser les cultures agricoles, lève 3,1 M€ en amorçage. Grâce à ces fonds, Inarix souhaite poursuivre le développement de sa solution d'IA pour l'adapter à un panel plus large de matières agricoles, renforcer ses équipes et s'implanter sur de nouveaux marchés en Europe et aux Etats-Unis. Ce premier tour de table est composé des sociétés de capital-risque internationales Ankaa ventures, Label Investment, Newfund, Alliance for impact et Resiliance, ainsi que du business angel Français Francis Nappez, Directeur Général d'Hectar.
Entre une croissance démographique exponentielle et des attentes consommateurs toujours plus fortes d'une part et un contexte climatique, géo-politique et réglementaire sous tension d'autre part, Inarix s'est donné pour mission d'aider les acteurs de l'agriculture à tirer le meilleur de chaque grain récolté.
Créée en 2018 par Pierre Chapelle, Inarix propose une solution éponyme permettant aux agriculteurs d'obtenir, à partir d'une seule photo prise avec leurs smartphones, un diagnostic multicritère en temps réel de leurs cultures. Grâce à l'intelligence artificielle, Inarix simplifie le processus d'analyse des cultures réalisé traditionnellement à partir de matériels volumineux et onéreux. En analysant en temps réel la qualité de la production agricole, tous les acteurs de la chaîne de valeur peuvent prendre les meilleures décisions et optimiser les flux de production de chaque filière. "Nous transformons les smartphones en un laboratoire de poche. Cela change la donne pour nos clients. Les retours terrain révèlent l'impact important de la technologie sur la maîtrise des opérations grâce à une analyse complète, multi-critères et en temps réel. Nous sommes ravis de la confiance accordée par les investisseurs. Cela va permettre de rendre notre solution largement accessible à tous les acteurs de l'agriculture”, déclare Pierre Chapelle, fondateur et PDG d'Inarix.
Avec une clientèle comprenant notamment des acteurs majeurs de l'industrie céréalière française - Inarix dispose d'une base client composée de plus de 400 sites en France - l'entreprise bénéficie de capacités permettant d'analyser et de déterminer la qualité de l'orge et du blé tendre. Ce premier tour de table va favoriser le développement d'Inarix au-delà des frontières et étendre ses activités à des cultures telles que le maïs, le soja et le café dans les 6 à 12 prochains mois. Cette démarche s'inscrit également dans le cadre de l'expansion américaine d'Inarix, où le maïs et le soja sont les principales cultures.
"Nous sommes convaincus qu'Inarix a le potentiel pour devenir la référence mondiale sur le marché du contrôle de la qualité des céréales, qui représente un milliard de dollars, en transformant complètement la façon dont l'industrie fonctionne actuellement et en perturbant l'espace", déclare Alexandre Pierron-Darbonne de Label.
"Inarix disrupte un secteur aussi critique que l'analyse des cultures et des produits agricoles grâce à sa technologie basée sur l'IA. L'évolutivité facile de sa solution permet à tous les acteurs de la chaîne de valeur, des agriculteurs aux clients finaux, de réduire le gaspillage et de garantir la qualité des produits agricoles. Nous sommes fiers d'accompagner l'entreprise dans son ambition d'améliorer la sécurité alimentaire et la durabilité," explique Jonathan Cohen-Sabban d'Ankaa Ventures.
Entre une croissance démographique exponentielle et des attentes consommateurs toujours plus fortes d'une part et un contexte climatique, géo-politique et réglementaire sous tension d'autre part, Inarix s'est donné pour mission d'aider les acteurs de l'agriculture à tirer le meilleur de chaque grain récolté.
Créée en 2018 par Pierre Chapelle, Inarix propose une solution éponyme permettant aux agriculteurs d'obtenir, à partir d'une seule photo prise avec leurs smartphones, un diagnostic multicritère en temps réel de leurs cultures. Grâce à l'intelligence artificielle, Inarix simplifie le processus d'analyse des cultures réalisé traditionnellement à partir de matériels volumineux et onéreux. En analysant en temps réel la qualité de la production agricole, tous les acteurs de la chaîne de valeur peuvent prendre les meilleures décisions et optimiser les flux de production de chaque filière. "Nous transformons les smartphones en un laboratoire de poche. Cela change la donne pour nos clients. Les retours terrain révèlent l'impact important de la technologie sur la maîtrise des opérations grâce à une analyse complète, multi-critères et en temps réel. Nous sommes ravis de la confiance accordée par les investisseurs. Cela va permettre de rendre notre solution largement accessible à tous les acteurs de l'agriculture”, déclare Pierre Chapelle, fondateur et PDG d'Inarix.
Avec une clientèle comprenant notamment des acteurs majeurs de l'industrie céréalière française - Inarix dispose d'une base client composée de plus de 400 sites en France - l'entreprise bénéficie de capacités permettant d'analyser et de déterminer la qualité de l'orge et du blé tendre. Ce premier tour de table va favoriser le développement d'Inarix au-delà des frontières et étendre ses activités à des cultures telles que le maïs, le soja et le café dans les 6 à 12 prochains mois. Cette démarche s'inscrit également dans le cadre de l'expansion américaine d'Inarix, où le maïs et le soja sont les principales cultures.
"Nous sommes convaincus qu'Inarix a le potentiel pour devenir la référence mondiale sur le marché du contrôle de la qualité des céréales, qui représente un milliard de dollars, en transformant complètement la façon dont l'industrie fonctionne actuellement et en perturbant l'espace", déclare Alexandre Pierron-Darbonne de Label.
"Inarix disrupte un secteur aussi critique que l'analyse des cultures et des produits agricoles grâce à sa technologie basée sur l'IA. L'évolutivité facile de sa solution permet à tous les acteurs de la chaîne de valeur, des agriculteurs aux clients finaux, de réduire le gaspillage et de garantir la qualité des produits agricoles. Nous sommes fiers d'accompagner l'entreprise dans son ambition d'améliorer la sécurité alimentaire et la durabilité," explique Jonathan Cohen-Sabban d'Ankaa Ventures.