« Les banques sont confrontées à un ensemble unique de défis en matière de gestion des liquidités en 2021, à la sortie de la pandémie, en sachant que les dépenses des clients vont reprendre, mais avec une incertitude quant au moment et à l'ampleur. La forte hausse de l'inflation au cours des derniers mois souligne également la pression exercée sur les clients des banques -les particuliers tout comme les entreprises- pour trouver des solutions permettant de réduire leurs pertes, voire d'offrir de la rentabilité. Sur plusieurs grands marchés de la zone euro, les plus grandes banques imposent de plus en plus des taux négatifs aux clients commerciaux, et abaissent même le seuil des taux négatifs pour les particuliers, faisant accroître la pression sur les clients pour qu'ils agissent au plus vite. Selon nos recherches, en Allemagne, aux Pays-Bas et en Espagne, de nombreuses grandes banques ont tellement d'excès de liquidité qu'elles ne proposent plus du tout à leurs clients les produits de dépôt à terme à 1 an, les plus prisés.
Dans un même temps, nous constatons un énorme regain de dynamisme dans certains secteurs de l'économie, comme par exemple le secteur des technologies, ainsi que sur le marché bancaire B2B qui sert ces secteurs dans le ‘backend’. Les banques spécialisées qui participent à cette croissance ont besoin de ces liquidités plus que jamais - dont une grande partie est bloquée dans les grandes banques européennes - et les marges des banques spécialisées vont leur permettre d'être compétitives en termes de taux pour attirer les liquidités dont elles ont besoin.
Compte tenu des risques inflationnistes (même s' ils semblent avoir été surestimés), les déposants sont avides d'options d'épargne pour faire face à la perte de pouvoir d'achat. Le maintien de taux d'intérêt bas permet aux banques qui ont besoin de liquidités de se démarquer plus facilement auprès de ces épargnants - et en examinant les marchés européens, elles disposent d'options très rentables dans des pays comme l'Allemagne, les Pays-Bas et l'Espagne. »
À propos de Raisin
Un précurseur de l’open banking et leader pan-européen de l’épargne et de l’investissement à travers une plateforme unique, la fintech berlinoise fut créé en 2012 par Dr. Tamaz Georgadze (CEO), Dr. Frank Freund (CFO) et Michael Stephan (COO). Les plateformes de Raisin — sous la marque WeltSparen dans les pays germanophones — font tomber les barrières pour faciliter l’épargne des consommateurs européens et des PME: la marketplace Raisin offre des comptes de dépôts garantis attractifs et faciles d’accès sans coûts de souscription à travers l’Europe, ainsi que des produits d’investissement en ETF et des plans d’épargne retraite à bas coûts en Allemagne. Grâce à une seule ouverture de compte en ligne, les clients de Raisin ont accès à une gamme diversifiée de produits d’épargne et peuvent ensuite gérer simplement leur patrimoine en ligne. Depuis 2013, Raisin a permis à 325 000 clients de placer 30,5 milliards d'euros auprès de 102 banques partenaires répartis dans plus de 28 pays européens. Raisin a été nominé parmi les top 5 fintechs des Fintech 50 et est soutenu financièrement par des investisseurs institutionnels américains et européens tels que btov Ventures, Goldman Sachs, PayPal Ventures, Thrive Capital, Index Ventures, Orange Digital Ventures et Ribbit Capital. Raisin UK basé à Manchester, Raisin Bank à Francfort, fairr.de, et Raisin Technology à Berlin appartiennent tous au groupe Raisin.
Dans un même temps, nous constatons un énorme regain de dynamisme dans certains secteurs de l'économie, comme par exemple le secteur des technologies, ainsi que sur le marché bancaire B2B qui sert ces secteurs dans le ‘backend’. Les banques spécialisées qui participent à cette croissance ont besoin de ces liquidités plus que jamais - dont une grande partie est bloquée dans les grandes banques européennes - et les marges des banques spécialisées vont leur permettre d'être compétitives en termes de taux pour attirer les liquidités dont elles ont besoin.
Compte tenu des risques inflationnistes (même s' ils semblent avoir été surestimés), les déposants sont avides d'options d'épargne pour faire face à la perte de pouvoir d'achat. Le maintien de taux d'intérêt bas permet aux banques qui ont besoin de liquidités de se démarquer plus facilement auprès de ces épargnants - et en examinant les marchés européens, elles disposent d'options très rentables dans des pays comme l'Allemagne, les Pays-Bas et l'Espagne. »
À propos de Raisin
Un précurseur de l’open banking et leader pan-européen de l’épargne et de l’investissement à travers une plateforme unique, la fintech berlinoise fut créé en 2012 par Dr. Tamaz Georgadze (CEO), Dr. Frank Freund (CFO) et Michael Stephan (COO). Les plateformes de Raisin — sous la marque WeltSparen dans les pays germanophones — font tomber les barrières pour faciliter l’épargne des consommateurs européens et des PME: la marketplace Raisin offre des comptes de dépôts garantis attractifs et faciles d’accès sans coûts de souscription à travers l’Europe, ainsi que des produits d’investissement en ETF et des plans d’épargne retraite à bas coûts en Allemagne. Grâce à une seule ouverture de compte en ligne, les clients de Raisin ont accès à une gamme diversifiée de produits d’épargne et peuvent ensuite gérer simplement leur patrimoine en ligne. Depuis 2013, Raisin a permis à 325 000 clients de placer 30,5 milliards d'euros auprès de 102 banques partenaires répartis dans plus de 28 pays européens. Raisin a été nominé parmi les top 5 fintechs des Fintech 50 et est soutenu financièrement par des investisseurs institutionnels américains et européens tels que btov Ventures, Goldman Sachs, PayPal Ventures, Thrive Capital, Index Ventures, Orange Digital Ventures et Ribbit Capital. Raisin UK basé à Manchester, Raisin Bank à Francfort, fairr.de, et Raisin Technology à Berlin appartiennent tous au groupe Raisin.