KillBills, la startup de dématérialisation de tickets de caisse, annonce une levée en seed de 4M€ auprès de Hartwood, ainsi que de Business Angels. Grâce à ce tour de table, KillBills se positionne comme l’acteur de référence du secteur. Avec la fin de l'impression systématique des tickets de caisse toujours à l’horizon, KillBills permet aux consommateurs de disposer automatiquement du détail de leurs achats directement sur leur espace bancaire.
KillBills annonce une première levée de fonds à 4M€, la plus importante dans le secteur dématérialisation du ticket de caisse en Europe, auprès du fonds français Hartwood et de plusieurs business angels dont Eric Ibled (Pumpkin, Greenly, Rosaly), Quentin de Chivré (fondateur de Shopmium), Didier Valet (ex-n°2 de la Société Générale) et Justin Ziegler (fondateur de Priceminister). La start-up française ambitionne de s’imposer comme la solution de référence et prendre le relais du ticket de caisse papier. D'un côté, elle offre aux commerçants une solution alternative à forte valeur ajoutée, de l'autre, elle permet aux consommateurs de retrouver les tickets de caisse sur leur espace bancaire directement après l'achat, sans étape supplémentaire, ni QR code, ni email.
La fin de l'impression automatique des tickets de caisse, prévue cet été, après deux reports, en application de la loi AGEC de 2020, a accéléré le besoin pour de nouvelles solutions alternatives. Créée en 2021 par Sid-Ahmed Chikh-Bled et Basile Fernandez, KillBills offre un service de dématérialisation de tickets de caisse, qui permet aux consommateurs de disposer automatiquement de tout le détail de leurs achats directement sur leur espace bancaire. KillBills est la seule solution qui ne requiert ni application, ni quelconque action de la part des consommateurs au moment de l'achat : le paiement se fait avec sa carte habituelle et le ticket est automatiquement disponible sur l'espace bancaire. Elle est également entièrement gratuite pour ces derniers, ainsi que pour les enseignes.
Loin de tuer le ticket de caisse, KillBills lui redonne sens et utilité. Le ticket de caisse papier est en effet devenu une absurdité écologique : en France, 2,5 millions d’arbres coupés, 1,8 milliards de litres d’eau et 2,2 millions de barils de pétrole utilisés chaque année pour une durée de vie de 3 secondes en moyenne. Le ticket de caisse dématérialisé de KillBills, disponible dans l'espace bancaire, ouvre la porte à une multitude d'applications : fin des lignes indéchiffrables sur les relevés, calcul du bilan carbone… KillBills offre ainsi aux consommateurs le contrôle total sur leurs dépenses. Et aux enseignes, qui n'ont pas encore franchi le pas de la dématérialisation, la possibilité, sans aucun coût, de proposer à leurs clients un service complet et fluide.
"La fin de l'impression systématique des tickets de caisse représente une magnifique nouvelle écologique. Elle crée également une opportunité économique à laquelle il convient d’apporter une réponse à la hauteur de l’enjeu écologique. KillBills représente bien plus que la digitalisation d'un morceau de papier. Notre objectif, c’est que les clients comprennent mieux leurs achats, pour consommer d’une manière plus responsable, plus saine, et plus simple" commente Sid-Ahmed Chikh-Bled, cofondateur de KillBills.
Depuis son lancement en 2021, KillBills collabore avec plus de 1000 commerçants, deux banques partenaires et sept logiciels de caisse ont intégré la technologie KillBills. Avec cette levée de fonds, KillBills va renforcer ses équipes, avec sept recrutements à court terme, et accroître le développement de son activité avec un objectif de 7000 commerçants supplémentaires d'ici la fin de l'année ainsi qu'un partenariat avec une banque historique.
KillBills annonce une première levée de fonds à 4M€, la plus importante dans le secteur dématérialisation du ticket de caisse en Europe, auprès du fonds français Hartwood et de plusieurs business angels dont Eric Ibled (Pumpkin, Greenly, Rosaly), Quentin de Chivré (fondateur de Shopmium), Didier Valet (ex-n°2 de la Société Générale) et Justin Ziegler (fondateur de Priceminister). La start-up française ambitionne de s’imposer comme la solution de référence et prendre le relais du ticket de caisse papier. D'un côté, elle offre aux commerçants une solution alternative à forte valeur ajoutée, de l'autre, elle permet aux consommateurs de retrouver les tickets de caisse sur leur espace bancaire directement après l'achat, sans étape supplémentaire, ni QR code, ni email.
La fin de l'impression automatique des tickets de caisse, prévue cet été, après deux reports, en application de la loi AGEC de 2020, a accéléré le besoin pour de nouvelles solutions alternatives. Créée en 2021 par Sid-Ahmed Chikh-Bled et Basile Fernandez, KillBills offre un service de dématérialisation de tickets de caisse, qui permet aux consommateurs de disposer automatiquement de tout le détail de leurs achats directement sur leur espace bancaire. KillBills est la seule solution qui ne requiert ni application, ni quelconque action de la part des consommateurs au moment de l'achat : le paiement se fait avec sa carte habituelle et le ticket est automatiquement disponible sur l'espace bancaire. Elle est également entièrement gratuite pour ces derniers, ainsi que pour les enseignes.
Loin de tuer le ticket de caisse, KillBills lui redonne sens et utilité. Le ticket de caisse papier est en effet devenu une absurdité écologique : en France, 2,5 millions d’arbres coupés, 1,8 milliards de litres d’eau et 2,2 millions de barils de pétrole utilisés chaque année pour une durée de vie de 3 secondes en moyenne. Le ticket de caisse dématérialisé de KillBills, disponible dans l'espace bancaire, ouvre la porte à une multitude d'applications : fin des lignes indéchiffrables sur les relevés, calcul du bilan carbone… KillBills offre ainsi aux consommateurs le contrôle total sur leurs dépenses. Et aux enseignes, qui n'ont pas encore franchi le pas de la dématérialisation, la possibilité, sans aucun coût, de proposer à leurs clients un service complet et fluide.
"La fin de l'impression systématique des tickets de caisse représente une magnifique nouvelle écologique. Elle crée également une opportunité économique à laquelle il convient d’apporter une réponse à la hauteur de l’enjeu écologique. KillBills représente bien plus que la digitalisation d'un morceau de papier. Notre objectif, c’est que les clients comprennent mieux leurs achats, pour consommer d’une manière plus responsable, plus saine, et plus simple" commente Sid-Ahmed Chikh-Bled, cofondateur de KillBills.
Depuis son lancement en 2021, KillBills collabore avec plus de 1000 commerçants, deux banques partenaires et sept logiciels de caisse ont intégré la technologie KillBills. Avec cette levée de fonds, KillBills va renforcer ses équipes, avec sept recrutements à court terme, et accroître le développement de son activité avec un objectif de 7000 commerçants supplémentaires d'ici la fin de l'année ainsi qu'un partenariat avec une banque historique.