Les fintechs s’attachent à réinventer la finance et la banque depuis un peu plus d’une dizaine d’années. Ces entreprises, majoritairement des startups, s’emparent des problématiques de ces secteurs afin de les améliorer. Et cela change également le paysage de manière radicale pour les utilisateurs. Voici un tour d’horizon de quelques usages novateurs développés par les fintechs.
Le paiement sans contact existe depuis quelques années pour les cartes bancaires, mais c’est plus récemment que les paiements peuvent être initiés directement depuis un smartphone.
C’est en 2020 qu’a réellement eu lieu un tournant radical vers le sans contact. La crise sanitaire du Covid-19 a en effet permis à cette manière de payer d’augmenter de 60%, et le retour en arrière semble impossible car en parallèle les espèces sont logiquement délaissées. Outre la possibilité de régler de petites sommes sans avoir à entrer son code, le paiement sans contact s’effectue aussi via un smartphone. Il faut que celui-ci soit équipé de la fonctionnalité NFC (le terminal du commerçant également). Lorsque le téléphone est rapproché du terminal, celui-ci le détecte et le règlement s’effectue automatiquement via l’application dédiée, comme Google Pay, Apple Pay, BBVA wallet ou Samsung Pay.
Utilisé pour les achats sur Internet, le compte virtuel permet de sécuriser ces paiements très sensibles. Il évite au client de divulguer ses coordonnées bancaires, ce qui diminue donc les risques. Pour l’utiliser, il suffit que le site marchand accepte ce type de règlement.
L’e-carte bleue est quant à elle une carte bleue virtuelle et éphémère. Pour régler un achat, il faut utiliser l’application de sa banque : il s’agit d’y entrer le montant souhaité ainsi que sa durée de validité. L’application donne ensuite un numéro de carte bleue à usage unique, qui permet de payer sans donner ses coordonnées bancaires.
Quant à PayPal, adopté par un très grand nombre d’utilisateurs, il permet de s’affranchir de tout moyen classique de règlement en ligne. Il faut simplement s’identifier avec une adresse email et un mot de passe, et il n’est pas obligatoire d’approvisionner ce compte. Utilisé pour des paiements en ligne mais aussi pour transférer de l’argent entre particuliers, PayPal est un service incontournable depuis sa création il y a une vingtaine d’années.
Enfin, pour les virements, le Request to pay est une solution qui simplifie ces opérations puisque c’est au créancier d’envoyer sa demande de règlement : le payeur a juste à la valider pour l’autoriser.
Les startups de la fintech ont encore de nombreux projets en cours pour remplir du mieux possible leurs objectifs concernant la modernisation des systèmes bancaires et financiers.
Si le Bitcoin existe depuis un certain temps mais reste rarement utilisé par le plus grand nombre, il pourrait en être tout autrement avec Diem.
En effet, cette nouvelle cryptomonnaie, d’abord baptisée Libra est un projet porté par Facebook et d’autres partenaires depuis 2019. Son déploiement est à suivre avec attention...
L’essor du paiement sans contact
Le paiement sans contact existe depuis quelques années pour les cartes bancaires, mais c’est plus récemment que les paiements peuvent être initiés directement depuis un smartphone.
C’est en 2020 qu’a réellement eu lieu un tournant radical vers le sans contact. La crise sanitaire du Covid-19 a en effet permis à cette manière de payer d’augmenter de 60%, et le retour en arrière semble impossible car en parallèle les espèces sont logiquement délaissées. Outre la possibilité de régler de petites sommes sans avoir à entrer son code, le paiement sans contact s’effectue aussi via un smartphone. Il faut que celui-ci soit équipé de la fonctionnalité NFC (le terminal du commerçant également). Lorsque le téléphone est rapproché du terminal, celui-ci le détecte et le règlement s’effectue automatiquement via l’application dédiée, comme Google Pay, Apple Pay, BBVA wallet ou Samsung Pay.
Les alternatives aux services bancaires classiques
Utilisé pour les achats sur Internet, le compte virtuel permet de sécuriser ces paiements très sensibles. Il évite au client de divulguer ses coordonnées bancaires, ce qui diminue donc les risques. Pour l’utiliser, il suffit que le site marchand accepte ce type de règlement.
L’e-carte bleue est quant à elle une carte bleue virtuelle et éphémère. Pour régler un achat, il faut utiliser l’application de sa banque : il s’agit d’y entrer le montant souhaité ainsi que sa durée de validité. L’application donne ensuite un numéro de carte bleue à usage unique, qui permet de payer sans donner ses coordonnées bancaires.
Quant à PayPal, adopté par un très grand nombre d’utilisateurs, il permet de s’affranchir de tout moyen classique de règlement en ligne. Il faut simplement s’identifier avec une adresse email et un mot de passe, et il n’est pas obligatoire d’approvisionner ce compte. Utilisé pour des paiements en ligne mais aussi pour transférer de l’argent entre particuliers, PayPal est un service incontournable depuis sa création il y a une vingtaine d’années.
Enfin, pour les virements, le Request to pay est une solution qui simplifie ces opérations puisque c’est au créancier d’envoyer sa demande de règlement : le payeur a juste à la valider pour l’autoriser.
Bitcoin, Diem (ex-Libra) : vers un usage plus généralisé des cryptomonnaies ?
Les startups de la fintech ont encore de nombreux projets en cours pour remplir du mieux possible leurs objectifs concernant la modernisation des systèmes bancaires et financiers.
Si le Bitcoin existe depuis un certain temps mais reste rarement utilisé par le plus grand nombre, il pourrait en être tout autrement avec Diem.
En effet, cette nouvelle cryptomonnaie, d’abord baptisée Libra est un projet porté par Facebook et d’autres partenaires depuis 2019. Son déploiement est à suivre avec attention...