Andrew Bateman, EVP Lending chez Finastra
En 2025, les taux d’intérêt mondiaux et les volumes de prêts continueront de fluctuer, tandis que les cadres réglementaires deviendront de plus en plus complexes. Par ailleurs, de nombreux secteurs des services financiers subissent une "fuite des cerveaux", due à des facteurs tels que des réglementations plus strictes, la perte de savoir-faire liée au départ à la retraite des vétérans de l’industrie, et la nécessité de nouvelles compétences à mesure que la technologie progresse. L’amélioration de l’efficacité opérationnelle, de la productivité, de la gestion des risques et de la rentabilité sera donc une priorité pour les prêteurs.
Les banques se tourneront de plus en plus vers l’IA générative (GenAI) pour combler les lacunes en matière de savoir-faire technologique et de prêts, ainsi que pour optimiser leurs processus. Grâce à sa capacité à générer du contenu personnalisé, la GenAI peut être utilisée pour créer des expériences d’apprentissage interactives et adaptées, permettant aux équipes de développer de nouvelles compétences. Les assistants alimentés par la GenAI seront également de plus en plus intégrés aux solutions existantes. Par exemple, avec les grands modèles de langage, les banques pourront analyser et interpréter des lettres de crédit et effectuer des vérifications instantanées des documents, ce qui permettra des décisions de financement commercial plus rapides et potentiellement mieux informées. Du côté des applications orientées clients, les entreprises pourraient demander une analyse détaillée de leurs prêts ou des moyens d’optimiser leurs finances, améliorant ainsi leur expérience utilisateur tout en réduisant les besoins en ressources des banques.
Le prêt durable, inclusif et responsable restera également une priorité majeure des conseils d’administration en 2025, en particulier avec les échéances des réglementations telles que Bâle 3.1 qui approchent rapidement. Ces réglementations exigeront des banques qu’elles respectent des exigences complexes en matière de déclaration des données de prêt et qu’elles fournissent des calculs de risques plus précis. De plus, la demande du marché pour des solutions alignées sur les critères ESG (environnementaux, sociaux et de gouvernance) continuera de croître, avec des produits tels que les prêts liés à la durabilité, les obligations vertes et le financement de la chaîne d’approvisionnement. Pour répondre à ces besoins, les banques devront adopter des solutions évolutives, hautement disponibles et automatisées, capables de gérer l’augmentation des volumes de prêts tout en simplifiant la complexité des exigences de déclaration et du suivi des performances. Les technologies Cloud et SaaS joueront ici un rôle clé, en offrant l’agilité nécessaire pour s’adapter à ce marché en constante évolution.
Un autre enjeu majeur sera la nécessité pour les prêteurs d’accélérer leurs efforts de modernisation afin de surmonter les défis liés à la gestion de leurs portefeuilles de prêts. Les PME, par exemple, sont essentielles aux économies et dépendent souvent du crédit pour survivre. Cependant, les processus manuels, les opérations en silos et les technologies obsolètes peuvent rendre le crédit aux PME risqué, peu rentable et difficile à concilier avec les normes réglementaires, ce qui contribue à des taux élevés de churn des emprunteurs. Pour capturer réellement cette opportunité de marché tout en réduisant les risques et les coûts, les banques devront consolider leurs portefeuilles de prêts sur une plateforme moderne et unifiée. Cela simplifiera et optimisera les services, améliorera la précision des données et réduira le nombre de demandes de prêt abandonnées.
Enfin, pour répondre aux exigences du marché, adopter les dernières technologies et limiter les risques en 2025, les écosystèmes de partenaires, soutenus par les principes de l’Open Finance, seront essentiels. En intégrant des services à valeur ajoutée via des API - comme le scoring ESG automatisé, la vérification documentaire ou les assistants alimentés par la GenAI - les prêteurs pourront rester compétitifs, améliorer leur efficacité et leur rentabilité, tout en réduisant le délai nécessaire pour générer de la valeur. Nous prévoyons que plus en plus de banques moderniseront leurs systèmes grâce à une approche basée sur des architectures de microservices, augmentant ainsi leur agilité tout en réduisant les risques.
Les banques se tourneront de plus en plus vers l’IA générative (GenAI) pour combler les lacunes en matière de savoir-faire technologique et de prêts, ainsi que pour optimiser leurs processus. Grâce à sa capacité à générer du contenu personnalisé, la GenAI peut être utilisée pour créer des expériences d’apprentissage interactives et adaptées, permettant aux équipes de développer de nouvelles compétences. Les assistants alimentés par la GenAI seront également de plus en plus intégrés aux solutions existantes. Par exemple, avec les grands modèles de langage, les banques pourront analyser et interpréter des lettres de crédit et effectuer des vérifications instantanées des documents, ce qui permettra des décisions de financement commercial plus rapides et potentiellement mieux informées. Du côté des applications orientées clients, les entreprises pourraient demander une analyse détaillée de leurs prêts ou des moyens d’optimiser leurs finances, améliorant ainsi leur expérience utilisateur tout en réduisant les besoins en ressources des banques.
Le prêt durable, inclusif et responsable restera également une priorité majeure des conseils d’administration en 2025, en particulier avec les échéances des réglementations telles que Bâle 3.1 qui approchent rapidement. Ces réglementations exigeront des banques qu’elles respectent des exigences complexes en matière de déclaration des données de prêt et qu’elles fournissent des calculs de risques plus précis. De plus, la demande du marché pour des solutions alignées sur les critères ESG (environnementaux, sociaux et de gouvernance) continuera de croître, avec des produits tels que les prêts liés à la durabilité, les obligations vertes et le financement de la chaîne d’approvisionnement. Pour répondre à ces besoins, les banques devront adopter des solutions évolutives, hautement disponibles et automatisées, capables de gérer l’augmentation des volumes de prêts tout en simplifiant la complexité des exigences de déclaration et du suivi des performances. Les technologies Cloud et SaaS joueront ici un rôle clé, en offrant l’agilité nécessaire pour s’adapter à ce marché en constante évolution.
Un autre enjeu majeur sera la nécessité pour les prêteurs d’accélérer leurs efforts de modernisation afin de surmonter les défis liés à la gestion de leurs portefeuilles de prêts. Les PME, par exemple, sont essentielles aux économies et dépendent souvent du crédit pour survivre. Cependant, les processus manuels, les opérations en silos et les technologies obsolètes peuvent rendre le crédit aux PME risqué, peu rentable et difficile à concilier avec les normes réglementaires, ce qui contribue à des taux élevés de churn des emprunteurs. Pour capturer réellement cette opportunité de marché tout en réduisant les risques et les coûts, les banques devront consolider leurs portefeuilles de prêts sur une plateforme moderne et unifiée. Cela simplifiera et optimisera les services, améliorera la précision des données et réduira le nombre de demandes de prêt abandonnées.
Enfin, pour répondre aux exigences du marché, adopter les dernières technologies et limiter les risques en 2025, les écosystèmes de partenaires, soutenus par les principes de l’Open Finance, seront essentiels. En intégrant des services à valeur ajoutée via des API - comme le scoring ESG automatisé, la vérification documentaire ou les assistants alimentés par la GenAI - les prêteurs pourront rester compétitifs, améliorer leur efficacité et leur rentabilité, tout en réduisant le délai nécessaire pour générer de la valeur. Nous prévoyons que plus en plus de banques moderniseront leurs systèmes grâce à une approche basée sur des architectures de microservices, augmentant ainsi leur agilité tout en réduisant les risques.
À propos de Finastra
Finastra est un fournisseur mondial d'applications logicielles pour les services financiers dans les domaines du Lending, Payments, Treasury and Capital Markets, et Universal Banking (retail and digital). Engagée à libérer le potentiel des personnes, des entreprises et des communautés partout dans le monde, Finastra œuvre au service de l'accélération de l’Open Finance grâce à la technologie et à la collaboration. Son approche précurseure lui permet notamment d'avoir la confiance de près de 8 100 institutions financières, dont 45 des 50 premières banques mondiales.
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