
Une étude YouGov menée pour la fintech Deblock révèle que 30% des Français ont le sentiment de ne pas être propriétaires de leur argent. La méfiance envers les institutions financières atteint un niveau inquiétant :
UNE DÉFIANCE ENVERS L’ÉTAT ET LE SYSTÈME BANCAIRE
Les résultats mettent en lumière une grande défiance envers les institutions. Un Français sur quatre (24 %) attribue même la note minimale de 0/10 à l’État en matière de protection de leurs avoirs. Les femmes et les catégories socio-professionnelles modestes (CSP-) affichent une méfiance encore plus marquée envers l’État.
“De nombreux facteurs peuvent expliquer un chiffre aussi bas : la perte de pouvoir d’achat, l’inflation persistante, l’instabilité fiscale.” analyse Claire Balva, VP Stratégie chez Deblock.
Côté banques, seuls 30% des Français ont pleinement confiance dans le système bancaire pour protéger leur argent (note de 7/10 ou plus).
LA CRAINTE D’UNE SAISIE DE L’ÉTAT EN CAS DE CRISE
Plus de la moitié des français jugent probable le scénario d’une saisie de leurs avoirs en cas de crise. Une perception qui varie selon l’âge : les 55 ans et plus semblent moins inquiets et ne sont que 40 % à estimer cette hypothèse plausible. Un phénomène qui peut s’expliquer par une moindre exposition aux aléas économiques chez les générations plus âgées.
Ce scénario suscite une vive inquiétude : 60 % des Français se disent inquiets face à cette possibilité. Ce chiffre grimpe à 63 % chez les femmes et à 65% chez les CSP-. Une tendance qui peut s’expliquer par une plus grande précarité financière ou encore un accès plus limité à l’information économique.
“Alors que les discours politiques sur la “réquisition” ou la saisie des fonds ciblent souvent les ultra-riches, ce sont en réalité les profils vulnérables qui sont les plus inquiets à ce sujet” indique Claire Balva, VP Stratégie de Deblock.
VERS UNE REDÉFINITION DE LA PROTECTION FINANCIÈRE ?
Au final, ces chiffres révèlent une tendance lourde : les Français cherchent de plus en plus d’alternatives pour protéger leur patrimoine, notamment via des solutions qui leur donnent un contrôle direct sur leur argent. Cette situation pourrait ainsi encourager l’essor d’alternatives financières comme les cryptoactifs, qui permettent une détention directe des fonds sans intermédiaire. Une solution rassurante pour se réapproprier son épargne.
“Chez Deblock, notre mission est de redonner aux français le contrôle sur leurs fonds grâce à des solutions innovantes et transparentes. Nous croyons en un système financier où chacun peut gérer ses fonds en sécurité, sans crainte d'ingérence.” conclut Claire Balva, VP Stratégie de Deblock.
Méthodologie :
Étude menée par YouGov pour Deblock du 10 au 13 janvier 2025 auprès d’un échantillon de 1000 personnes de plus de 18 ans, représentatif de la population française.
Il est à noter que lors d’une crise, les dépôts bancaires supérieurs à 100 000 euros peuvent effectivement être utilisés pour renflouer les banques (directive BRRD en Europe).
- 52% ne font pas confiance à l’État pour protéger leur épargne ;
- 40% ne font pas confiance au système bancaire ;
- 6 français sur 10 redoutent une saisie de leur épargne par l’État ;
- Les femmes et les catégories modestes sont les plus inquiètes face à ces risques.
UNE DÉFIANCE ENVERS L’ÉTAT ET LE SYSTÈME BANCAIRE
Les résultats mettent en lumière une grande défiance envers les institutions. Un Français sur quatre (24 %) attribue même la note minimale de 0/10 à l’État en matière de protection de leurs avoirs. Les femmes et les catégories socio-professionnelles modestes (CSP-) affichent une méfiance encore plus marquée envers l’État.
“De nombreux facteurs peuvent expliquer un chiffre aussi bas : la perte de pouvoir d’achat, l’inflation persistante, l’instabilité fiscale.” analyse Claire Balva, VP Stratégie chez Deblock.
Côté banques, seuls 30% des Français ont pleinement confiance dans le système bancaire pour protéger leur argent (note de 7/10 ou plus).
LA CRAINTE D’UNE SAISIE DE L’ÉTAT EN CAS DE CRISE
Plus de la moitié des français jugent probable le scénario d’une saisie de leurs avoirs en cas de crise. Une perception qui varie selon l’âge : les 55 ans et plus semblent moins inquiets et ne sont que 40 % à estimer cette hypothèse plausible. Un phénomène qui peut s’expliquer par une moindre exposition aux aléas économiques chez les générations plus âgées.
Ce scénario suscite une vive inquiétude : 60 % des Français se disent inquiets face à cette possibilité. Ce chiffre grimpe à 63 % chez les femmes et à 65% chez les CSP-. Une tendance qui peut s’expliquer par une plus grande précarité financière ou encore un accès plus limité à l’information économique.
“Alors que les discours politiques sur la “réquisition” ou la saisie des fonds ciblent souvent les ultra-riches, ce sont en réalité les profils vulnérables qui sont les plus inquiets à ce sujet” indique Claire Balva, VP Stratégie de Deblock.
VERS UNE REDÉFINITION DE LA PROTECTION FINANCIÈRE ?
Au final, ces chiffres révèlent une tendance lourde : les Français cherchent de plus en plus d’alternatives pour protéger leur patrimoine, notamment via des solutions qui leur donnent un contrôle direct sur leur argent. Cette situation pourrait ainsi encourager l’essor d’alternatives financières comme les cryptoactifs, qui permettent une détention directe des fonds sans intermédiaire. Une solution rassurante pour se réapproprier son épargne.
“Chez Deblock, notre mission est de redonner aux français le contrôle sur leurs fonds grâce à des solutions innovantes et transparentes. Nous croyons en un système financier où chacun peut gérer ses fonds en sécurité, sans crainte d'ingérence.” conclut Claire Balva, VP Stratégie de Deblock.
Méthodologie :
Étude menée par YouGov pour Deblock du 10 au 13 janvier 2025 auprès d’un échantillon de 1000 personnes de plus de 18 ans, représentatif de la population française.
Il est à noter que lors d’une crise, les dépôts bancaires supérieurs à 100 000 euros peuvent effectivement être utilisés pour renflouer les banques (directive BRRD en Europe).

À propos de Deblock :
Fondée par quatre anciens cadres de Revolut et Ledger — Jean Meyer, Adriana Restrepo, Aaron Beck et Mario Eguiluz— Deblock vise à moderniser les services bancaires en intégrant les nouvelles technologies financières. La plateforme, lancée en France en avril 2024, compte plus de 200 000 téléchargements et entend offrir à ses utilisateurs une expérience unique, sécurisée et conforme aux régulations financières les plus rigoureuses. Deblock est agréé par la Banque de France, enregistré auprès de l’AMF et dispose depuis novembre 2024 de l’agrément PSAN.
Fondée par quatre anciens cadres de Revolut et Ledger — Jean Meyer, Adriana Restrepo, Aaron Beck et Mario Eguiluz— Deblock vise à moderniser les services bancaires en intégrant les nouvelles technologies financières. La plateforme, lancée en France en avril 2024, compte plus de 200 000 téléchargements et entend offrir à ses utilisateurs une expérience unique, sécurisée et conforme aux régulations financières les plus rigoureuses. Deblock est agréé par la Banque de France, enregistré auprès de l’AMF et dispose depuis novembre 2024 de l’agrément PSAN.