Un nouveau rapport d’Avanade montre que les banques de taille moyenne se tournent en nombre vers l’intelligence artificielle pour améliorer leur efficacité, leur productivité et leurs services. Elles doivent cependant relever des défis importants, comme la modernisation des systèmes, la sécurité des données et les enjeux éthiques. L’étude, réalisée dans 10 pays auprès de 4 100 décideurs (dont 500 issus du secteur bancaire), se concentre sur les entreprises de taille moyenne avec un chiffre d’affaires annuel entre 500 millions et 5 milliards de dollars.
Les banques sont constamment à la recherche de nouvelles façons de gérer les risques et la réglementation, d'améliorer les opérations, d'offrir une expérience client distinctive ainsi que d'acquérir et de retenir les talents, tout en créant de la valeur. Le rapport révèle que les banques, notamment les banques de taille moyenne, sont optimistes quant au potentiel de l'IA pour résoudre certains des problèmes les plus importants auxquels elles sont confrontées.
Selon le rapport, près de 59 % des banques de taille moyenne ont déjà lancé des programmes de transformation par l’IA, et 33 % d’entre elles les ont finalisés, notant des bénéfices significatifs à différents niveaux en interne – tels que l’informatique (64 %), le service client (50 %) ou encore la finance (49 %).
De plus, 61 % des banques considèrent que l’IA favorise une meilleure collaboration grâce à des outils de travail améliorés.
Toutefois, le rapport met en évidence que la modernisation des infrastructures, le cloud et la gestion des données restent des défis majeurs. En effet, la protection des données est jugée essentielle pour 51 % des banques, tandis que la qualité des données et la gouvernance sont des priorités absolues pour garantir la réussite des projets liés à l’IA. En outre, 29 % des banques mentionnent la pénurie de talents spécialisés comme un frein important pour l’adoption de l’IA.
En ce qui concerne les investissements futurs, le rapport montre que les banques de taille moyenne se concentrent notamment sur la modernisation des infrastructures cloud et l’amélioration de la cybersécurité. Une des priorités est l’intégration d’outils d’IA générative, comme Microsoft Copilot ; en effet 56 % des banques ont identifié des cas d’utilisation, et 53 % les ont déjà déployés. Sans compter que, d’ici fin 2025 34 % des banques considèrent augmenter leur budget pour l’IA générative de 16 à 30 %.
Bien que les bénéfices de l’IA soient déjà visibles, notamment dans l’automatisation des tâches et l’amélioration de la collaboration, il reste encore des défis liés à la sécurité des données et à la gestion de l’IA ; 65 % des banques s’attendent à un retour sur investissement rapide, dans les 3 à 12 mois, mais ces gains à court terme ne seront possibles que si une véritable stratégie est adoptée.
Les banques sont constamment à la recherche de nouvelles façons de gérer les risques et la réglementation, d'améliorer les opérations, d'offrir une expérience client distinctive ainsi que d'acquérir et de retenir les talents, tout en créant de la valeur. Le rapport révèle que les banques, notamment les banques de taille moyenne, sont optimistes quant au potentiel de l'IA pour résoudre certains des problèmes les plus importants auxquels elles sont confrontées.
Selon le rapport, près de 59 % des banques de taille moyenne ont déjà lancé des programmes de transformation par l’IA, et 33 % d’entre elles les ont finalisés, notant des bénéfices significatifs à différents niveaux en interne – tels que l’informatique (64 %), le service client (50 %) ou encore la finance (49 %).
De plus, 61 % des banques considèrent que l’IA favorise une meilleure collaboration grâce à des outils de travail améliorés.
Toutefois, le rapport met en évidence que la modernisation des infrastructures, le cloud et la gestion des données restent des défis majeurs. En effet, la protection des données est jugée essentielle pour 51 % des banques, tandis que la qualité des données et la gouvernance sont des priorités absolues pour garantir la réussite des projets liés à l’IA. En outre, 29 % des banques mentionnent la pénurie de talents spécialisés comme un frein important pour l’adoption de l’IA.
En ce qui concerne les investissements futurs, le rapport montre que les banques de taille moyenne se concentrent notamment sur la modernisation des infrastructures cloud et l’amélioration de la cybersécurité. Une des priorités est l’intégration d’outils d’IA générative, comme Microsoft Copilot ; en effet 56 % des banques ont identifié des cas d’utilisation, et 53 % les ont déjà déployés. Sans compter que, d’ici fin 2025 34 % des banques considèrent augmenter leur budget pour l’IA générative de 16 à 30 %.
Bien que les bénéfices de l’IA soient déjà visibles, notamment dans l’automatisation des tâches et l’amélioration de la collaboration, il reste encore des défis liés à la sécurité des données et à la gestion de l’IA ; 65 % des banques s’attendent à un retour sur investissement rapide, dans les 3 à 12 mois, mais ces gains à court terme ne seront possibles que si une véritable stratégie est adoptée.