Les Européens pourraient économiser jusqu'à 7 milliards d’euros de frais bancaires chaque année en s’appuyant sur de nouveaux outils digitaux de gestion de leurs finances. En effet, une nouvelle étude d'Azimo, menée auprès de 4.000 personnes, révèle que près de 90% des consommateurs au Royaume-Uni, en Allemagne, en Espagne et en France utilisent aujourd’hui les nouvelles technologies pour gérer leur argent plutôt que les services bancaires traditionnels.
Sur les 1.000 consommateurs interrogés dans chaque pays sur leurs méthodes de gestion de finances personnelles, la grande majorité (86%) pense que les nouvelles technologies peuvent les aider à éviter d’être à découvert et de payer des frais bancaires inutiles. Concrètement, plus de la moitié (53%) des Européens interrogés (49,2% des Français) estiment que les nouveaux services de gestion financière les ont aidés à économiser jusqu'à 100 euros par an.
Concernant l’accès à ces services financiers, les Espagnols apparaissent comme les plus à l’aise face aux nouvelles technologies avec 70% (la moyenne dans tous les pays interrogés est de 57%) des répondants optant pour une application mobile comme outil de prédilection pour la gestion de leur argent. En France à l’inverse, seuls 54,7% des sondés optent pour cette solution. Une majorité de Français, soit 73% des personnes interrogées, déclarent se connecter aux outils de gestion de leur argent via un ordinateur fixe.
Malgré tout en France, en toute logique, les jeunes (16-24 ans) passent tout de même principalement par les applications mobiles (76,3%) là où les plus âgés (45 ans et plus) se connectent via un ordinateur fixe (80,35%) ou, de façon plus surprenante, via leur mobile mais en se connectant sur le site web mobile de leur banque (46,30%).
A la question des économies que pourraient permettre les nouvelles technologies, les Allemands se montrent les moins convaincus, avec près d'une personne sur cinq (19%) en désaccord total avec cette idée, suivis des Français à 16,3%, des Britanniques à 14% des et des Espagnols à seulement 6,7%.
« Grâce aux nouvelles technologies, les frais inutiles à la charge des consommateurs semblent désormais appartenir au passé », déclare Michael Kent, co-fondateur et PDG d'Azimo. « Chez Azimo, nous nous efforçons d’aider les consommateurs à mieux gérer leur argent, tant sur le plan national qu'international. Les résultats de cette étude prouvent que les nouvelles technologies continuent de faire évoluer positivement le monde de la finance et, bien qu'il y ait encore du chemin à parcourir pour numériser entièrement le marché, il est extraordinaire d’en observer d’ores et déjà l'impact et les nombreux avantages pour les consommateurs. »
A l’échelle des quatre pays étudiés, les principales raisons qui amènent les consommateurs à penser que des économies sont réalisables sont les suivantes :
1. La capacité d’effectuer un virement en ligne instantané pour éviter les découverts et les frais associés, pour en moyenne 68,7% des Européens interrogés, 72,8% des Français mais surtout 76% des femmes françaises.
2. Avoir une visibilité instantanée de ce qu'on dépense, permettant d'agir en conséquence, pour en moyenne 61,4% des Européens interrogés et 60,2% des Français.
3. La possibilité de gérer soi-même les prélèvements et les ordres de virement permanent, pour en moyenne 51,1% des Européens interrogés et 46,2% des Français.
En France, les principales conclusions de l’étude sont les suivantes :
• 88,5% des Français déclarent utiliser régulièrement les nouveaux outils digitaux pour gérer leur argent. Ils ne sont que 11,5% à ne jamais les avoir utilisés. Les hommes sont à 53,6% des utilisateurs fréquents, alors que les femmes (à 46,3%) utilisent plus occasionnellement ces nouveaux outils.
• La majorité des Français (73,1%) se connectent à ces outils via un ordinateur fixe ; plus d’un sur deux (54,7%) via une application mobile et 46,1% via le site web mobile de leur banque.
• Globalement, 83,7% des Français pensent qu’il est possible de faire des économies grâce aux nouveaux outils digitaux. Pour autant, ils sont 23,70% à penser que ces nouveaux outils ne leur ont pas encore permis de faire économies sur la gestion de leur argent.
• Les jeunes actifs (25-34 ans) sont les plus convaincus des économies réalisables: 91,7% d’entre eux pensent que les nouvelles technologies les aideront à éviter d’être à découvert et de payer des frais bancaires inutiles. Les seniors (55 ans et plus) estiment en revanche à 30,2% que cela est inutile.
Sur les 1.000 consommateurs interrogés dans chaque pays sur leurs méthodes de gestion de finances personnelles, la grande majorité (86%) pense que les nouvelles technologies peuvent les aider à éviter d’être à découvert et de payer des frais bancaires inutiles. Concrètement, plus de la moitié (53%) des Européens interrogés (49,2% des Français) estiment que les nouveaux services de gestion financière les ont aidés à économiser jusqu'à 100 euros par an.
Concernant l’accès à ces services financiers, les Espagnols apparaissent comme les plus à l’aise face aux nouvelles technologies avec 70% (la moyenne dans tous les pays interrogés est de 57%) des répondants optant pour une application mobile comme outil de prédilection pour la gestion de leur argent. En France à l’inverse, seuls 54,7% des sondés optent pour cette solution. Une majorité de Français, soit 73% des personnes interrogées, déclarent se connecter aux outils de gestion de leur argent via un ordinateur fixe.
Malgré tout en France, en toute logique, les jeunes (16-24 ans) passent tout de même principalement par les applications mobiles (76,3%) là où les plus âgés (45 ans et plus) se connectent via un ordinateur fixe (80,35%) ou, de façon plus surprenante, via leur mobile mais en se connectant sur le site web mobile de leur banque (46,30%).
A la question des économies que pourraient permettre les nouvelles technologies, les Allemands se montrent les moins convaincus, avec près d'une personne sur cinq (19%) en désaccord total avec cette idée, suivis des Français à 16,3%, des Britanniques à 14% des et des Espagnols à seulement 6,7%.
« Grâce aux nouvelles technologies, les frais inutiles à la charge des consommateurs semblent désormais appartenir au passé », déclare Michael Kent, co-fondateur et PDG d'Azimo. « Chez Azimo, nous nous efforçons d’aider les consommateurs à mieux gérer leur argent, tant sur le plan national qu'international. Les résultats de cette étude prouvent que les nouvelles technologies continuent de faire évoluer positivement le monde de la finance et, bien qu'il y ait encore du chemin à parcourir pour numériser entièrement le marché, il est extraordinaire d’en observer d’ores et déjà l'impact et les nombreux avantages pour les consommateurs. »
A l’échelle des quatre pays étudiés, les principales raisons qui amènent les consommateurs à penser que des économies sont réalisables sont les suivantes :
1. La capacité d’effectuer un virement en ligne instantané pour éviter les découverts et les frais associés, pour en moyenne 68,7% des Européens interrogés, 72,8% des Français mais surtout 76% des femmes françaises.
2. Avoir une visibilité instantanée de ce qu'on dépense, permettant d'agir en conséquence, pour en moyenne 61,4% des Européens interrogés et 60,2% des Français.
3. La possibilité de gérer soi-même les prélèvements et les ordres de virement permanent, pour en moyenne 51,1% des Européens interrogés et 46,2% des Français.
En France, les principales conclusions de l’étude sont les suivantes :
• 88,5% des Français déclarent utiliser régulièrement les nouveaux outils digitaux pour gérer leur argent. Ils ne sont que 11,5% à ne jamais les avoir utilisés. Les hommes sont à 53,6% des utilisateurs fréquents, alors que les femmes (à 46,3%) utilisent plus occasionnellement ces nouveaux outils.
• La majorité des Français (73,1%) se connectent à ces outils via un ordinateur fixe ; plus d’un sur deux (54,7%) via une application mobile et 46,1% via le site web mobile de leur banque.
• Globalement, 83,7% des Français pensent qu’il est possible de faire des économies grâce aux nouveaux outils digitaux. Pour autant, ils sont 23,70% à penser que ces nouveaux outils ne leur ont pas encore permis de faire économies sur la gestion de leur argent.
• Les jeunes actifs (25-34 ans) sont les plus convaincus des économies réalisables: 91,7% d’entre eux pensent que les nouvelles technologies les aideront à éviter d’être à découvert et de payer des frais bancaires inutiles. Les seniors (55 ans et plus) estiment en revanche à 30,2% que cela est inutile.