Paris, le 29 janvier 2020 - La fraude et le risque d'impayés constituent 2 défis majeurs pour les entreprises et les consommateurs.
Du côté des consommateurs, la fraude s'industrialise et se banalise à la fois. Celle-ci est rendue plus simple grâce à Internet et au développement des technologies. Elle relève autant du « crime organisé » que de Mr.Tout-le-monde qui exploite les failles du quotidien (un Français sur 4 regarde la TV payante sans payer - source HADOPI).
La fraude bancaire, à elle seule, représente 1 milliard d’euros en 2018, en progression de 36% sur une année (source Banque de France). Pour les 1,2 millions de consommateurs victimes, ce sont des désagréments (dépôt de plainte, délai de remboursement) voire des pertes sèches (un client sur 5 n’a pas été remboursé : préjudice moyen de 860€ ! (source Banque de France).
Du côté des entreprises, la note est encore plus salée car c’est à elles d’assumer les charges entrainées par la fraude entre le coût de la prévention et les pertes financières.
A ce premier défi de la fraude s’ajoute celui des impayés. Le législateur demande désormais aux entreprises de renforcer l’étude de solvabilité (crédit immobilier, loyer, abonnements) tout en limitant l’utilisation des données personnelles. Cette responsabilisation est clé pour les entreprises car le coût du risque peut représenter des pertes financières très importantes et des déficits d’image.
Pour préserver leur business, la tentation est grande de « prêter aux riches » et de se prémunir des profils atypiques, tout en fichant les mauvais payeurs. Pourtant, ce n’est pas suffisant et c’est même contreproductif pour le business et donc les consommateurs. Tout est une question d’équilibre : il faut responsabiliser les engagements pour lutter contre l’excès d’endettement sans fermer l’accès aux jeunes, aux travailleurs qui ne sont pas en CDI.
Alors comment les entreprises peuvent-elle résoudre cette problématique ?
Meelo, entreprise de la fintech, propose une solution pour permettre de sécuriser les transactions, identifier les éventuels fraudeurs et prédire le risque d’impayé. Sa technologie se base sur l’intelligence artificielle pour établir un profil du client en temps réel. En fonction des données recueillies de l’entreprise (historique d’achat, de navigation, de paiement), de données déclaratives fournies par le client ou de données externes (informations publiques accessibles en ligne), la solution établit un scoring des clients. Le machine learning fait le reste. Le résultat est sans appel : le risque de fraude est divisé par trois tandis que l’expérience client s’en trouve améliorée. Tout le monde y gagne : l’entreprise et les clients.
A propos :
Meelo est née en 2019 de l’union de deux expertises : technologie et data. Meelo compte déjà parmi ses clients des banques, des assurances, des e-commerçants qui ont déjà testé et approuvé la solution d’onboarding sécurisé.
Du côté des consommateurs, la fraude s'industrialise et se banalise à la fois. Celle-ci est rendue plus simple grâce à Internet et au développement des technologies. Elle relève autant du « crime organisé » que de Mr.Tout-le-monde qui exploite les failles du quotidien (un Français sur 4 regarde la TV payante sans payer - source HADOPI).
La fraude bancaire, à elle seule, représente 1 milliard d’euros en 2018, en progression de 36% sur une année (source Banque de France). Pour les 1,2 millions de consommateurs victimes, ce sont des désagréments (dépôt de plainte, délai de remboursement) voire des pertes sèches (un client sur 5 n’a pas été remboursé : préjudice moyen de 860€ ! (source Banque de France).
Du côté des entreprises, la note est encore plus salée car c’est à elles d’assumer les charges entrainées par la fraude entre le coût de la prévention et les pertes financières.
A ce premier défi de la fraude s’ajoute celui des impayés. Le législateur demande désormais aux entreprises de renforcer l’étude de solvabilité (crédit immobilier, loyer, abonnements) tout en limitant l’utilisation des données personnelles. Cette responsabilisation est clé pour les entreprises car le coût du risque peut représenter des pertes financières très importantes et des déficits d’image.
Pour préserver leur business, la tentation est grande de « prêter aux riches » et de se prémunir des profils atypiques, tout en fichant les mauvais payeurs. Pourtant, ce n’est pas suffisant et c’est même contreproductif pour le business et donc les consommateurs. Tout est une question d’équilibre : il faut responsabiliser les engagements pour lutter contre l’excès d’endettement sans fermer l’accès aux jeunes, aux travailleurs qui ne sont pas en CDI.
Alors comment les entreprises peuvent-elle résoudre cette problématique ?
Meelo, entreprise de la fintech, propose une solution pour permettre de sécuriser les transactions, identifier les éventuels fraudeurs et prédire le risque d’impayé. Sa technologie se base sur l’intelligence artificielle pour établir un profil du client en temps réel. En fonction des données recueillies de l’entreprise (historique d’achat, de navigation, de paiement), de données déclaratives fournies par le client ou de données externes (informations publiques accessibles en ligne), la solution établit un scoring des clients. Le machine learning fait le reste. Le résultat est sans appel : le risque de fraude est divisé par trois tandis que l’expérience client s’en trouve améliorée. Tout le monde y gagne : l’entreprise et les clients.
A propos :
Meelo est née en 2019 de l’union de deux expertises : technologie et data. Meelo compte déjà parmi ses clients des banques, des assurances, des e-commerçants qui ont déjà testé et approuvé la solution d’onboarding sécurisé.