Blockchain : Définition
Avant toute chose, il faut rappeler que la Blockchain (ou chaîne de blocs en français) est la technologie utilisée par Bitcoin. Concrètement, il s’agit d’un registre virtuel immense regroupant toutes les transactions effectuées par des utilisateurs. À l’heure actuelle, cette technologie est avant tout utilisée pour tracer et gérer les transactions financières réalisées à l’aide de crypto-monnaies.
Il est important également de comprendre que la Blockchain n’est pas régie par des hommes mais par des protocoles techniques. Ainsi, elle se veut 100% fiable car chaque transaction est calculée et vérifiée par de puissants algorithmes avant d’être validée. L’objectif ? Empêcher toute fraude ou manipulation des transactions financières. Bien qu’elle se soit fait connaître à travers le Bitcoin, cette technologie peut avoir de nombreux autres usages puisqu’elle permet de valider et sécuriser n’importe quel échange de données. À l’avenir, la Blockchain pourra servir lors d’élections, pour la mise en place de contrats, le transfert d’héritages…
La Blockchain se veut inviolable, pourtant Bitcoin a fait l’objet de pratiques malhonnêtes par le passé. On pense notamment au comportement plus que douteux de Mark Karpelès, l’ancien patron d’une importante plateforme de Bitcoin. Pourquoi miser sur cette technologie dans ce cas ? En théorie, elle est effectivement transparente et empêche quiconque de cacher ou falsifier des données. Dans le cas de Bitcoin, son utilisation a été détournée de ses principes de base, d’où certaines dérives évoquées ci-dessus. Mais Georges Nahon, le CEO d’Orange Lab, l’affirme : (ces dérives) n’ont rien à voir avec la puissance et la sophistication intrinsèque de cette technologie. Ajoutons à cela que la principale attaque réussie sur le protocole (en 2010, des hackers ont tiré parti d’un bug pour diffuser 184 milliards de faux Bitcoins) fut en réalité contrecarrée en quelques heures (bug corrigé et faux Bitcoins retirés de la circulation). En effet, grâce au caractère open source du protocole, plusieurs informaticiens chevronnés ont pu collaborer pour intervenir de manière éclair.
l'article complet est disponible sur le blog de Bolden
Il est important également de comprendre que la Blockchain n’est pas régie par des hommes mais par des protocoles techniques. Ainsi, elle se veut 100% fiable car chaque transaction est calculée et vérifiée par de puissants algorithmes avant d’être validée. L’objectif ? Empêcher toute fraude ou manipulation des transactions financières. Bien qu’elle se soit fait connaître à travers le Bitcoin, cette technologie peut avoir de nombreux autres usages puisqu’elle permet de valider et sécuriser n’importe quel échange de données. À l’avenir, la Blockchain pourra servir lors d’élections, pour la mise en place de contrats, le transfert d’héritages…
La Blockchain se veut inviolable, pourtant Bitcoin a fait l’objet de pratiques malhonnêtes par le passé. On pense notamment au comportement plus que douteux de Mark Karpelès, l’ancien patron d’une importante plateforme de Bitcoin. Pourquoi miser sur cette technologie dans ce cas ? En théorie, elle est effectivement transparente et empêche quiconque de cacher ou falsifier des données. Dans le cas de Bitcoin, son utilisation a été détournée de ses principes de base, d’où certaines dérives évoquées ci-dessus. Mais Georges Nahon, le CEO d’Orange Lab, l’affirme : (ces dérives) n’ont rien à voir avec la puissance et la sophistication intrinsèque de cette technologie. Ajoutons à cela que la principale attaque réussie sur le protocole (en 2010, des hackers ont tiré parti d’un bug pour diffuser 184 milliards de faux Bitcoins) fut en réalité contrecarrée en quelques heures (bug corrigé et faux Bitcoins retirés de la circulation). En effet, grâce au caractère open source du protocole, plusieurs informaticiens chevronnés ont pu collaborer pour intervenir de manière éclair.
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