Inscrite parmi les projets prioritaires de l’actuel gouvernement, la mobilité électrique porte avec elle d’importants enjeux.
Pour le pays qui a vu naitre les premières voitures électriques, renouer avec des modes de transport écologiques est en effet devenu une priorité.
Les actions se multiplient dans ce sens, rendant désormais l’ambitieux objectif du million de véhicules propres en circulation à l’horizon 2022 beaucoup moins utopique.
Au cours de ces dix dernières années, de plus en plus de Français ont fait le choix de l’électrique pour leurs déplacements quotidiens. Et la tendance est bien partie pour durer notamment avec les trottinettes et les vélo électriques.
Véhicules électriques, un boom qui se prolonge
En 2010, seulement 180 nouvelles voitures électriques pour particuliers avaient été immatriculées en France…
Pour le compte de l’année 2018, ce sont 31 069 nouvelles immatriculations qui ont été enregistrées. La progression est énorme !
Au cours de cette dernière décennie, le parc de véhicules à batterie électrique et hybrides rechargeables en circulation a en effet connu une croissance fulgurante, passant de tout juste quelques centaines en 2010, à plus de 227 000 à la fin du premier semestre 2019. Des chiffres qui reflètent bien tout l’intérêt que manifeste toute une tranche d’automobilistes français à la transition écologique dans ce secteur.
Sur le segment des deux-roues, la progression est tout aussi fulgurante, voire plus, notamment en ce qui concerne les scooters électriques de petite cylindrée.
Portée par les plateformes de partage telles que Cityscoot et Coup France, cette niche enregistre des ventes en croissance exponentielle depuis 2019.
Des mesures incitatives
Faut-il voir, derrière cette forte progression de l’électrique, une prise de conscience écologique collective des Français ? En grande partie surement…
Mais il faut également dire que de nombreuses initiatives sont portées par l’État central afin de faciliter l’accès à ce type de moyens de transport, considérés comme moins polluants.
Car les objectifs des gouvernants dans ce sens sont particulièrement ambitieux.
Le projet de mobilité électrique porté par le Président Macron a notamment pour objectif de franchir la barre du million de véhicules électriques en circulation d’ici 2022.
Pour y parvenir, l’État a multiplié les mesures d’incitation à l’achat.
Parmi celles-ci, il y a notamment le bonus écologique qui permet de bénéficier d’une prime allant jusqu’à 6 000 € sur l’achat d’un véhicule électrique.
À cela, s’ajoute la prime à la conversion (ou superbonus écologique) qui donne droit à une réduction supplémentaire allant de 2 500 € à 5 000 € pour le passage d’un véhicule diesel ou essence à une voiture électrique.
De telles mesures tendent à rendre plus accessibles, les véhicules électriques, dont les prix d’achat sont encore considérés comme trop élevés par beaucoup de Français.
Des réponses aux attentes des conducteurs
Malgré ces différentes mesures et le réel engouement suscité par un passage massif à l’électrique, de nombreux automobilistes émettent encore certaines réserves à franchir le pas.
L’un des freins évoqués concerne l’autonomie de ces véhicules et la disponibilité, jugée encore trop faible, de points de recharge.
Pour y répondre, le gouvernement a récemment pris de nouvelles mesures.
La première concerne l’élargissement du réseau de bornes électriques en multipliant par 5 le nombre existant actuellement (environ 26 000 à la date actuelle).
Ce projet est complété par une opération nommée « Bornes à moitié prix » visant à faciliter l’acquisition des bornes d’équipement par les copropriétés pour une plus grande proximité.
Avec ces différentes mesures et actions, la France compte bien atteindre ses objectifs en termes de mobilité électrique et respecter ses engagements en faveur de la planète.
Rappelons que le programme actuel prévoit la fin de la vente des véhicules thermiques en France à l’horizon 2040.
Un objectif ambitieux, mais qui semble de plus en plus atteignable.
Pour le pays qui a vu naitre les premières voitures électriques, renouer avec des modes de transport écologiques est en effet devenu une priorité.
Les actions se multiplient dans ce sens, rendant désormais l’ambitieux objectif du million de véhicules propres en circulation à l’horizon 2022 beaucoup moins utopique.
Au cours de ces dix dernières années, de plus en plus de Français ont fait le choix de l’électrique pour leurs déplacements quotidiens. Et la tendance est bien partie pour durer notamment avec les trottinettes et les vélo électriques.
Véhicules électriques, un boom qui se prolonge
En 2010, seulement 180 nouvelles voitures électriques pour particuliers avaient été immatriculées en France…
Pour le compte de l’année 2018, ce sont 31 069 nouvelles immatriculations qui ont été enregistrées. La progression est énorme !
Au cours de cette dernière décennie, le parc de véhicules à batterie électrique et hybrides rechargeables en circulation a en effet connu une croissance fulgurante, passant de tout juste quelques centaines en 2010, à plus de 227 000 à la fin du premier semestre 2019. Des chiffres qui reflètent bien tout l’intérêt que manifeste toute une tranche d’automobilistes français à la transition écologique dans ce secteur.
Sur le segment des deux-roues, la progression est tout aussi fulgurante, voire plus, notamment en ce qui concerne les scooters électriques de petite cylindrée.
Portée par les plateformes de partage telles que Cityscoot et Coup France, cette niche enregistre des ventes en croissance exponentielle depuis 2019.
Des mesures incitatives
Faut-il voir, derrière cette forte progression de l’électrique, une prise de conscience écologique collective des Français ? En grande partie surement…
Mais il faut également dire que de nombreuses initiatives sont portées par l’État central afin de faciliter l’accès à ce type de moyens de transport, considérés comme moins polluants.
Car les objectifs des gouvernants dans ce sens sont particulièrement ambitieux.
Le projet de mobilité électrique porté par le Président Macron a notamment pour objectif de franchir la barre du million de véhicules électriques en circulation d’ici 2022.
Pour y parvenir, l’État a multiplié les mesures d’incitation à l’achat.
Parmi celles-ci, il y a notamment le bonus écologique qui permet de bénéficier d’une prime allant jusqu’à 6 000 € sur l’achat d’un véhicule électrique.
À cela, s’ajoute la prime à la conversion (ou superbonus écologique) qui donne droit à une réduction supplémentaire allant de 2 500 € à 5 000 € pour le passage d’un véhicule diesel ou essence à une voiture électrique.
De telles mesures tendent à rendre plus accessibles, les véhicules électriques, dont les prix d’achat sont encore considérés comme trop élevés par beaucoup de Français.
Des réponses aux attentes des conducteurs
Malgré ces différentes mesures et le réel engouement suscité par un passage massif à l’électrique, de nombreux automobilistes émettent encore certaines réserves à franchir le pas.
L’un des freins évoqués concerne l’autonomie de ces véhicules et la disponibilité, jugée encore trop faible, de points de recharge.
Pour y répondre, le gouvernement a récemment pris de nouvelles mesures.
La première concerne l’élargissement du réseau de bornes électriques en multipliant par 5 le nombre existant actuellement (environ 26 000 à la date actuelle).
Ce projet est complété par une opération nommée « Bornes à moitié prix » visant à faciliter l’acquisition des bornes d’équipement par les copropriétés pour une plus grande proximité.
Avec ces différentes mesures et actions, la France compte bien atteindre ses objectifs en termes de mobilité électrique et respecter ses engagements en faveur de la planète.
Rappelons que le programme actuel prévoit la fin de la vente des véhicules thermiques en France à l’horizon 2040.
Un objectif ambitieux, mais qui semble de plus en plus atteignable.