Entre autonomie et contrôle, 61 % des DAF estiment qu’il faut favoriser l’autonomie des salariés en matière de gestion de leurs dépenses professionnelles selon une étude Payhawk
Le secret pour dynamiser la croissance d’une entreprise ? 61 % des DAF estiment qu’il faut favoriser l’autonomie des salariés en matière de gestion de leurs dépenses professionnelles, selon une récente étude conduite par Coleman Parkes pour Payhawk, une plateforme proposant une solution de gestion des dépenses pour les entreprises dans 32 pays. Pourtant, peu d’entre eux sont parvenus à atteindre le bon équilibre entre autonomie et contrôle.
Alors que 41 % des entreprises interrogées indiquent qu’elles s’emploient activement à définir un processus de gestion autonome des dépenses – un indicateur clair de son importance stratégique –, seulement 31 % d’entre elles déclarent disposer d’une politique formalisée bien ancrée.
Cette divergence met en évidence la tension existante entre le niveau d’autonomie et de contrôle souhaité par les entreprises – les DAF mentionnent notamment les craintes de fraude (51 %) et les problèmes de confiance (41 %) comme des obstacles à la mise en œuvre de cadres efficaces.
La gestion autonome des dépenses fait référence à un ensemble d’attitudes, de comportements et de pratiques qui façonnent la manière dont une entreprise aborde les dépenses. En pratique, cela signifie que l’entreprise octroie davantage de liberté et de flexibilité à ses équipes, tout en leur fournissant un cadre bien défini.
Selon l’étude Payhawk, 28 % des DAF ont mis en place un système de cartes d’entreprise avec des limites et un budget fixés au préalable, ce qui favorise l’autonomie tout en conservant un certain degré de contrôle. A contrario, 18 % des entreprises adoptent des limites claires et applicables avec peu d’exceptions, reflétant la mise en place d’un cadre très contrôlé.
Bien que 85 % des responsables financiers comprennent l’importance de conférer davantage d’autonomie aux salariés en matière de gestion des dépenses, une grande majorité d’entre eux manquent encore cruellement de polices financières bien définies pour pouvoir favoriser une prise de décisions éclairée.
Par ailleurs, les DAF citent plusieurs obstacles qui les empêchent de définir et de mettre en place une solution de gestion autonome des dépenses au sein de leur entreprise, notamment :
Selon l’étude de Payhawk, seulement 4 % des DAF interrogés déclarent ne pas avoir l’intention d’octroyer davantage d’autonomie à leurs salariés dans un avenir proche ; 31 % affirment disposer d’un cadre bien défini, 41 % s’y emploient actuellement et 25 % entendent en faire une priorité au cours des 12 prochains mois.
Parmi les entreprises qui disposent déjà de politiques de dépenses établies, 49 % ont fait état d’une amélioration de leurs contrôles sur les dépenses, ainsi que d’une amélioration de la rentabilité (41 %) et d’une augmentation de la responsabilité (38 %).
« Les résultats de l’étude soulignent la nécessité d’accorder davantage d’autonomie aux équipes dans la gestion de leurs dépenses, tout en leur fournissant un cadre bien défini qui les responsabilisent sans compromettre la sécurité. Le défi ne consiste pas seulement à définir des politiques de dépenses sur le papier – il faut surtout parvenir à les rendre concrètes grâce à l’automatisation et aux contrôles en temps réel. Aujourd’hui, de nombreux DAF se tournent vers la technologie et utilisent des solutions complètes de gestion des dépenses pour pouvoir obtenir des informations en temps réel, gagner du temps grâce à des processus d’approbation automatisés et améliorer la visibilité et la responsabilité au sein des équipes afin d’accorder davantage d’autonomie à leurs salariés et d’instaurer un climat de confiance tout en prévenant la fraude. », déclare Valentin Gerbi, Country Manager France de Payhawk.
Pour en savoir plus, consultez le dernier rapport de Payhawk intitulé Les DAF à la croisée des chemins numériques.
Méthodologie de l’étude
Payhawk a fait appel à Coleman Parkes, un institut de sondage indépendant, pour interroger 1 000 DAF, directeurs financiers, vice-présidents et chefs des départements Finance issus d’entreprises de plus de 250 employés avec un chiffre d’affaires de plus de 60 millions d’euros. L’étude a été menée entre août et septembre 2024 en Bulgarie, en France, en Allemagne, aux Pays-Bas, au Royaume-Uni et en Espagne.
À propos de Payhawk :
Payhawk est une plateforme offrant une solution de gestion des dépenses à destination des moyennes et grandes entreprises implantées aux États-Unis, au Royaume-Uni et en Europe. Elle les accompagne dans la gestion et l’automatisation de leurs processus financiers tout en leur permettant de garder une visibilité et un contrôle sur leurs dépenses professionnelles.
En regroupant les cartes d’entreprise, les notes de frais, les factures fournisseurs, et en proposant des intégrations ERP, comptables et de ressources humaines (RH), Payhawk accompagne ses clients dans plus de 32 pays et les aide à gagner en efficacité, à contrôler leurs dépenses à grande échelle et à toujours faire preuve d’agilité. Payhawk dispose de bureaux basés à New-York, Londres, Paris, Berlin, Barcelone, Amsterdam, Vilnius et Sofia, et compte parmi ses clients des entreprises renommées telles que Alma, Vinted, Checkmyguest, Kolsquare, Flowdesk, ou encore Innovafeed.
- La crainte de la fraude (51 %) et les problèmes de confiance (41 %) sont les 2 obstacles freinant la mise en œuvre de cadres efficaces
- Parmi les entreprises qui disposent déjà de politiques de dépenses établies, 49 % ont fait état d’une amélioration de leurs contrôles sur les dépenses, d’une amélioration de la rentabilité (41 %) et d’une augmentation de la responsabilité (38 %)
Le secret pour dynamiser la croissance d’une entreprise ? 61 % des DAF estiment qu’il faut favoriser l’autonomie des salariés en matière de gestion de leurs dépenses professionnelles, selon une récente étude conduite par Coleman Parkes pour Payhawk, une plateforme proposant une solution de gestion des dépenses pour les entreprises dans 32 pays. Pourtant, peu d’entre eux sont parvenus à atteindre le bon équilibre entre autonomie et contrôle.
Alors que 41 % des entreprises interrogées indiquent qu’elles s’emploient activement à définir un processus de gestion autonome des dépenses – un indicateur clair de son importance stratégique –, seulement 31 % d’entre elles déclarent disposer d’une politique formalisée bien ancrée.
Cette divergence met en évidence la tension existante entre le niveau d’autonomie et de contrôle souhaité par les entreprises – les DAF mentionnent notamment les craintes de fraude (51 %) et les problèmes de confiance (41 %) comme des obstacles à la mise en œuvre de cadres efficaces.
La gestion autonome des dépenses ou « spend culture »
La gestion autonome des dépenses fait référence à un ensemble d’attitudes, de comportements et de pratiques qui façonnent la manière dont une entreprise aborde les dépenses. En pratique, cela signifie que l’entreprise octroie davantage de liberté et de flexibilité à ses équipes, tout en leur fournissant un cadre bien défini.
Selon l’étude Payhawk, 28 % des DAF ont mis en place un système de cartes d’entreprise avec des limites et un budget fixés au préalable, ce qui favorise l’autonomie tout en conservant un certain degré de contrôle. A contrario, 18 % des entreprises adoptent des limites claires et applicables avec peu d’exceptions, reflétant la mise en place d’un cadre très contrôlé.
La gestion autonome des dépenses comme levier de croissance des entreprises
Bien que 85 % des responsables financiers comprennent l’importance de conférer davantage d’autonomie aux salariés en matière de gestion des dépenses, une grande majorité d’entre eux manquent encore cruellement de polices financières bien définies pour pouvoir favoriser une prise de décisions éclairée.
Par ailleurs, les DAF citent plusieurs obstacles qui les empêchent de définir et de mettre en place une solution de gestion autonome des dépenses au sein de leur entreprise, notamment :
- Un manque d’outils adéquats pour disposer d’une visibilité en temps réel et d’un certain degré de contrôle sur les dépenses.
- Des workflows d’approbation inefficaces, qui entraînent des retards et des incohérences dans les données.
- Une forte résistance aux changements au sein des structures organisationnelles.
Selon l’étude de Payhawk, seulement 4 % des DAF interrogés déclarent ne pas avoir l’intention d’octroyer davantage d’autonomie à leurs salariés dans un avenir proche ; 31 % affirment disposer d’un cadre bien défini, 41 % s’y emploient actuellement et 25 % entendent en faire une priorité au cours des 12 prochains mois.
Parmi les entreprises qui disposent déjà de politiques de dépenses établies, 49 % ont fait état d’une amélioration de leurs contrôles sur les dépenses, ainsi que d’une amélioration de la rentabilité (41 %) et d’une augmentation de la responsabilité (38 %).
« Les résultats de l’étude soulignent la nécessité d’accorder davantage d’autonomie aux équipes dans la gestion de leurs dépenses, tout en leur fournissant un cadre bien défini qui les responsabilisent sans compromettre la sécurité. Le défi ne consiste pas seulement à définir des politiques de dépenses sur le papier – il faut surtout parvenir à les rendre concrètes grâce à l’automatisation et aux contrôles en temps réel. Aujourd’hui, de nombreux DAF se tournent vers la technologie et utilisent des solutions complètes de gestion des dépenses pour pouvoir obtenir des informations en temps réel, gagner du temps grâce à des processus d’approbation automatisés et améliorer la visibilité et la responsabilité au sein des équipes afin d’accorder davantage d’autonomie à leurs salariés et d’instaurer un climat de confiance tout en prévenant la fraude. », déclare Valentin Gerbi, Country Manager France de Payhawk.
Pour en savoir plus, consultez le dernier rapport de Payhawk intitulé Les DAF à la croisée des chemins numériques.
Méthodologie de l’étude
Payhawk a fait appel à Coleman Parkes, un institut de sondage indépendant, pour interroger 1 000 DAF, directeurs financiers, vice-présidents et chefs des départements Finance issus d’entreprises de plus de 250 employés avec un chiffre d’affaires de plus de 60 millions d’euros. L’étude a été menée entre août et septembre 2024 en Bulgarie, en France, en Allemagne, aux Pays-Bas, au Royaume-Uni et en Espagne.
À propos de Payhawk :
Payhawk est une plateforme offrant une solution de gestion des dépenses à destination des moyennes et grandes entreprises implantées aux États-Unis, au Royaume-Uni et en Europe. Elle les accompagne dans la gestion et l’automatisation de leurs processus financiers tout en leur permettant de garder une visibilité et un contrôle sur leurs dépenses professionnelles.
En regroupant les cartes d’entreprise, les notes de frais, les factures fournisseurs, et en proposant des intégrations ERP, comptables et de ressources humaines (RH), Payhawk accompagne ses clients dans plus de 32 pays et les aide à gagner en efficacité, à contrôler leurs dépenses à grande échelle et à toujours faire preuve d’agilité. Payhawk dispose de bureaux basés à New-York, Londres, Paris, Berlin, Barcelone, Amsterdam, Vilnius et Sofia, et compte parmi ses clients des entreprises renommées telles que Alma, Vinted, Checkmyguest, Kolsquare, Flowdesk, ou encore Innovafeed.