La 1ère édition de l’étude sur l’Agritech et la Foodtech, réalisée par KPMG en France et la Ferme Digitale, décrypte la performance et les perspectives des start-ups de l’Agritech et de la Foodtech et son impact :
Alors que les besoins alimentaires de la population mondiale devraient croitre de 50 % à l’horizon 2050, que 25 à 30 % de la production alimentaire est perdue ou gaspillée et que 10 % de la population mondiale vit dans un pays avec un stress hydrique élevé ou critique, l’Agritech, la Foodscience et la Foodtech françaises sont porteuses de solutions d’innovations essentielles pour l’avenir de l’humanité et de la planète, notamment :
Malgré la complexité à la fois des enjeux et des solutions à apporter, un pas en avant est désormais franchi puisque l’innovation collaborative entre les acteurs de la recherche, les startups, les industriels, les coopératives agricoles et les groupes agroalimentaires débouche sur de belles réussites qu’il faut multiplier et intensifier.
2023 et les perspectives :
En 2022 :
"La France a franchi une première étape, l’écosystème est fertile et de nombreuses pousses ont germé. Nous sommes convaincus que démarre une deuxième phase de croissance et d’accélération, de passage à l’échelle et d’émergence de leaders internationaux, en faveur d’une agriculture durable, performante et citoyenne", relève Roger Averbuch, Associé, Responsable du secteur agroalimentaire KPMG en France.
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- La collaboration entre tous les acteurs s’installe au coeur de l’écosystème de l’Agritech et de la Foodtech françaises ;
- Une dynamique de l’AgriFoodtech française dans un contexte de ralentissement des levées de fonds pour les autres secteurs au premier trimestre 2023 et alors que le financement des start-ups françaises a chuté de 68 % sur un an.
Alors que les besoins alimentaires de la population mondiale devraient croitre de 50 % à l’horizon 2050, que 25 à 30 % de la production alimentaire est perdue ou gaspillée et que 10 % de la population mondiale vit dans un pays avec un stress hydrique élevé ou critique, l’Agritech, la Foodscience et la Foodtech françaises sont porteuses de solutions d’innovations essentielles pour l’avenir de l’humanité et de la planète, notamment :
- Capturer le carbone dans les sols ;
- Apporter des outils d’automatisation aux agriculteurs pour réduire la pénibilité et améliorer la performance ;
- Concilier alimentation et santé ;
- Proposer des nouvelles méthodes de production ;
- Apporter des solutions de traçabilité pour assurer santé, sécurité et réduire le gaspillage alimentaire ;
- Proposer des produits alimentaires alternatifs plus durable.
L’innovation collaborative au coeur des attentes de l’écosystème français de l’Agritech et de la Foodtech
Malgré la complexité à la fois des enjeux et des solutions à apporter, un pas en avant est désormais franchi puisque l’innovation collaborative entre les acteurs de la recherche, les startups, les industriels, les coopératives agricoles et les groupes agroalimentaires débouche sur de belles réussites qu’il faut multiplier et intensifier.
2023 et les perspectives :
- Sur le 1er quadrimestre, 21 levées de fonds pour 270 M€ ont été conclues et le segment Agritech capte la majorité des financements, avec 14 opérations représentant 229 M€, soit 85 % du montant total.
- Cette dynamique confirmée de l’AgriFoodtech française est d’autant plus remarquable qu’elle intervient dans un contexte de ralentissement des levées de fonds pour la French Tech au premier trimestre 2023 et alors que le financement des start-ups françaises a chuté de 68 % sur un an.
Dynamique pour les start-ups et entreprises de l’Agritech et de la Foodtech
En 2022 :
- 46 start-ups ont levé 668 M€, franchissant le cap des 500 M€, soit une progression de + 242 % par rapport à 2021, plaçant ainsi l’Agritech et la Foodtech au-dessus du niveau de performance des principaux secteurs de la Tech en France.
- L’AgriTech domine largement avec 26 opérations conclues, et un montant moyen de 18,2 M€ pour un total de 473 M€, représentant 71 % des investissements, avec une tendance forte pour la nutrition alternative, alors que l’offre alimentaire de demain sera influencée par deux autres tendances (la nutrition santé, la nutrition personnalisée)
"La France a franchi une première étape, l’écosystème est fertile et de nombreuses pousses ont germé. Nous sommes convaincus que démarre une deuxième phase de croissance et d’accélération, de passage à l’échelle et d’émergence de leaders internationaux, en faveur d’une agriculture durable, performante et citoyenne", relève Roger Averbuch, Associé, Responsable du secteur agroalimentaire KPMG en France.
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