Une année 2018 exceptionnelle pour la plateforme de financement participatif Happy Capital. Les porteurs de projets qui ont choisis la plateforme peuvent se frotter les mains. Tous ont validés leur augmentation de capital. Après un taux de réussite de 50% depuis la création de Happy Capital en 2013 puis 75% sur les 2 dernières années, le taux est passé à 100% cette année. Le fruit de la maturité ?
En partie, mais c’est surtout un travail de fond mené par toute l’équipe nous indique son fondateur Philippe GABORIEAU. “Nous faisons un travail de fourmis, avec une recherche permanente de satisfaction de nos clients investisseurs et porteurs de projets”.
Pour rappel Happy Capital fait partie des pionniers de l’investissement participatif. Son crédo : “financer des projets utiles” qui ont un impact positif sur notre quotidien, tels qu’un vaccin thérapeutique contre le sida, une molécule de collagène qui arrête les hémorragies internes, un houlomoteur qui crée de l’électricité à partir de l’ondulation des vagues, une carte “culture pour tous”...
Un parcours aux antipodes des Fintechs du secteur. La seule à ne pas avoir réalisé de levée de fonds pour se développer. “Je voulais prouver et me prouver que le modèle était viable” précise Philippe GABORIEAU. Il a fallu donc “être malin”. Le premier investissement et principal actif de la société, c’est l’outil, comprenez le site. “Nous avons tout développé en interne”. Résultat, c’est moins cher, c’est adapté et surtout plus pratique pour tester, pour innover.
Ensuite, la société a mis au point un algorithme qui évolue depuis sa création pour sélectionner les projets. Cet algorithme est mis à jour régulièrement afin d’affiner sa sélection. un véritable savoir faire. “Ce qui nous différencie, c’est le fait de disposer d’autant de critères subjectifs qu’objectifs. Car pour nous, ce qui fait systématiquement la différence dans la réalisation d’un projet, c’est l’humain et nous sommes très attentifs aux signaux faibles.”
Les porteurs de projets et les investisseurs sont suivis par des chargés de compte. Notre métier est digital, mais nous ne pouvons pas nous passer du lien, d’une rencontre. Faire le choix d’investir n’est pas anodin, cela demande une expertise et du conseil. De nombreux termes techniques sont utilisés tant au niveau financier que juridique et nous devons les décrypter pour nos clients. En France, le crowdfunding va devenir “click and mortar”, c’est à dire qu’il va combiner des processus numériques et des rencontres physiques.
C’est notamment dans cet esprit qu’est né le partenariat avec la Caisse d’Epargne, la force d’un réseau avec l’agilité d’une start-up, pour être plus près des porteurs de projets et des investisseurs.
Enfin, Happy Capital a su se diversifier, tant au niveau des secteurs d’activités que par les produits avec les minibons ou les obligations. Pour preuve, le lançement d’une plateforme de crowdfunding immobilier (déjà 2 projets financés et 2 en collecte), www.mycapital.immo ou encore le rachat de la plateforme de prêt “Pretgo”.
A propos de Happy Capital
Happy Capital est une plateforme de financement participatif sous forme d'actions. Cette Fintech créée en 2013 est très active dans le secteur du financement des PME. Elle a noué de nombreux partenariats avec notamment la Caisse d’Epargne au niveau national ainsi que plusieurs CCI. Les 3 atouts de cette plateforme généraliste sont de sélectionner des projets qui ont un impact positif sur notre quotidien, d’être la première plateforme à investir systématiquement aux côtés des investisseurs et d’imposer un suivi des porteurs de projets pour améliorer la pérennité des entreprises. Happy Capital dispose également d’une plateforme dédiée à l’immobilier My Capital Immo.
En partie, mais c’est surtout un travail de fond mené par toute l’équipe nous indique son fondateur Philippe GABORIEAU. “Nous faisons un travail de fourmis, avec une recherche permanente de satisfaction de nos clients investisseurs et porteurs de projets”.
Pour rappel Happy Capital fait partie des pionniers de l’investissement participatif. Son crédo : “financer des projets utiles” qui ont un impact positif sur notre quotidien, tels qu’un vaccin thérapeutique contre le sida, une molécule de collagène qui arrête les hémorragies internes, un houlomoteur qui crée de l’électricité à partir de l’ondulation des vagues, une carte “culture pour tous”...
Un parcours aux antipodes des Fintechs du secteur. La seule à ne pas avoir réalisé de levée de fonds pour se développer. “Je voulais prouver et me prouver que le modèle était viable” précise Philippe GABORIEAU. Il a fallu donc “être malin”. Le premier investissement et principal actif de la société, c’est l’outil, comprenez le site. “Nous avons tout développé en interne”. Résultat, c’est moins cher, c’est adapté et surtout plus pratique pour tester, pour innover.
Ensuite, la société a mis au point un algorithme qui évolue depuis sa création pour sélectionner les projets. Cet algorithme est mis à jour régulièrement afin d’affiner sa sélection. un véritable savoir faire. “Ce qui nous différencie, c’est le fait de disposer d’autant de critères subjectifs qu’objectifs. Car pour nous, ce qui fait systématiquement la différence dans la réalisation d’un projet, c’est l’humain et nous sommes très attentifs aux signaux faibles.”
Les porteurs de projets et les investisseurs sont suivis par des chargés de compte. Notre métier est digital, mais nous ne pouvons pas nous passer du lien, d’une rencontre. Faire le choix d’investir n’est pas anodin, cela demande une expertise et du conseil. De nombreux termes techniques sont utilisés tant au niveau financier que juridique et nous devons les décrypter pour nos clients. En France, le crowdfunding va devenir “click and mortar”, c’est à dire qu’il va combiner des processus numériques et des rencontres physiques.
C’est notamment dans cet esprit qu’est né le partenariat avec la Caisse d’Epargne, la force d’un réseau avec l’agilité d’une start-up, pour être plus près des porteurs de projets et des investisseurs.
Enfin, Happy Capital a su se diversifier, tant au niveau des secteurs d’activités que par les produits avec les minibons ou les obligations. Pour preuve, le lançement d’une plateforme de crowdfunding immobilier (déjà 2 projets financés et 2 en collecte), www.mycapital.immo ou encore le rachat de la plateforme de prêt “Pretgo”.
A propos de Happy Capital
Happy Capital est une plateforme de financement participatif sous forme d'actions. Cette Fintech créée en 2013 est très active dans le secteur du financement des PME. Elle a noué de nombreux partenariats avec notamment la Caisse d’Epargne au niveau national ainsi que plusieurs CCI. Les 3 atouts de cette plateforme généraliste sont de sélectionner des projets qui ont un impact positif sur notre quotidien, d’être la première plateforme à investir systématiquement aux côtés des investisseurs et d’imposer un suivi des porteurs de projets pour améliorer la pérennité des entreprises. Happy Capital dispose également d’une plateforme dédiée à l’immobilier My Capital Immo.