Dynamismes et bouleversements technologiques dans la banque et l'assurance
Dans tous les domaines, le digital bouleverse en profondeur nos sociétés et nos modes de vie : transport, hôtellerie, commerce, industrie, culture, banque, assurance etc.
Chaque jour, on entend parler des Apple, Google, Uber, Airbnb...qui ont renversé des modèles d'affaires - en un temps record - par l'utilisation des technologies et des services dits de rupture à portée mondiale.
Ces anciennes start-up sont devenues désormais des multinationales.
Derrière ces entreprises disruptives, d'autres petits acteurs moins connus émergent, doucement et sûrement, dans des secteurs aussi sensibles que la banque et l'assurance : ils occupent l'espace de la FinTech - un mot porte-manteau composé de "finance" et de "technologie" -.
Leur objectif principal est de détruire - partiellement ou totalement - l'ancien modèle économique pour en imposer un nouveau en s'appuyant sur la recherche et le développement d'innovations techniques et financières telles que la robotique ou l'intelligence artificielle.
Des promesses d'efficacité, de gains de productivité et de réductions de coûts représentent l'ossature des modèles économiques disruptifs.
Après s'être attaqués, avec fracas et succès, aux rentes des taxis, des hôtels et des compagnies téléphoniques, des milliers de start-up - en majorité américaines et britanniques - s'attaquent à des mastodontes bancaires et assurantiels confortablement installés depuis des siècles.
Transfert d'argent, crédit entre particuliers, épargne, paiement mobile, assurance ou investissement, financement professionnel ...aucun segment de marché n'est et ne sera épargné par la vague.
Les niches rentières verrouillées sautent, méthodiquement, l'une après l'autre, principalement sous la pression des entreprises d'Outre-manche et d'Outre-atlantique - il faut bien l'admettre -.
Les Chinois et les Indiens ne sont pas en reste et sont également dynamiques et agiles sur ce marché stratégique de la FinTech.
Qui sont-elles ces entreprises prometteuses ? Voici deux infographies que j'ai réalisées résumant l'état des lieux du secteur de la FinTech au 03 août 2016 :
Infographie 1
En moins de 100 secondes, la start-up britannique Mondo – par exemple – a levé 1 million de livres sterling en mars 2016.
Autour de la start-up Lending Club, cotée au New York Stock Exchange (NYSE) à plus de 1,77 milliard de dollars en capitalisation boursière au 01/08/2016, gravite des centaines de petites entreprises voulant rejoindre le leader du marché et devenir une « Licorne » sur leur marché national et surtout à l’international.
Chaque jour, on entend parler des Apple, Google, Uber, Airbnb...qui ont renversé des modèles d'affaires - en un temps record - par l'utilisation des technologies et des services dits de rupture à portée mondiale.
Ces anciennes start-up sont devenues désormais des multinationales.
Derrière ces entreprises disruptives, d'autres petits acteurs moins connus émergent, doucement et sûrement, dans des secteurs aussi sensibles que la banque et l'assurance : ils occupent l'espace de la FinTech - un mot porte-manteau composé de "finance" et de "technologie" -.
Leur objectif principal est de détruire - partiellement ou totalement - l'ancien modèle économique pour en imposer un nouveau en s'appuyant sur la recherche et le développement d'innovations techniques et financières telles que la robotique ou l'intelligence artificielle.
Des promesses d'efficacité, de gains de productivité et de réductions de coûts représentent l'ossature des modèles économiques disruptifs.
Après s'être attaqués, avec fracas et succès, aux rentes des taxis, des hôtels et des compagnies téléphoniques, des milliers de start-up - en majorité américaines et britanniques - s'attaquent à des mastodontes bancaires et assurantiels confortablement installés depuis des siècles.
Transfert d'argent, crédit entre particuliers, épargne, paiement mobile, assurance ou investissement, financement professionnel ...aucun segment de marché n'est et ne sera épargné par la vague.
Les niches rentières verrouillées sautent, méthodiquement, l'une après l'autre, principalement sous la pression des entreprises d'Outre-manche et d'Outre-atlantique - il faut bien l'admettre -.
Les Chinois et les Indiens ne sont pas en reste et sont également dynamiques et agiles sur ce marché stratégique de la FinTech.
Qui sont-elles ces entreprises prometteuses ? Voici deux infographies que j'ai réalisées résumant l'état des lieux du secteur de la FinTech au 03 août 2016 :
Infographie 1
En moins de 100 secondes, la start-up britannique Mondo – par exemple – a levé 1 million de livres sterling en mars 2016.
Autour de la start-up Lending Club, cotée au New York Stock Exchange (NYSE) à plus de 1,77 milliard de dollars en capitalisation boursière au 01/08/2016, gravite des centaines de petites entreprises voulant rejoindre le leader du marché et devenir une « Licorne » sur leur marché national et surtout à l’international.