Tout juste commencé, 2018 sera placée sous le signe de l’entreprise intelligente, de l’IA, des voitures autonomes, des drones, des monnaies virtuelles, des objets connectés (IoT), de la sécurité, du Cloud et des appareils dits de périphérie. Ces technologies devraient non seulement changer notre façon de travailler, mais pourraient également jouer un rôle dans la santé ! Nous assisterons peut-être même à une percée médicale révolutionnaire qui permettra d’éradiquer les pathologies héréditaires.
#1. L’IA et l’entreprise intelligente
Dans les dix années à venir, la planète comptera 5 milliards d’utilisateurs connectés à Internet. Mille milliards de machines, soit bien plus que d’êtres humains, seront connectées et l’architecture dite de Von Neumann se verra remplacée par les calculateurs quantiques (Q2K et Qubit). D’ici 5 ans, le monde comptera 10 millions de programmeurs supplémentaires tandis que le travail effectué par les cols blancs sera accompli par des logiciels ou des machines.
Cette automatisation, indispensable pour pouvoir exprimer notre plein potentiel, sera alimentée par l’intelligence artificielle (IA). Des fonctionnalités de l’IA, par exemple celles de reconnaissance de comportements et d’aide à la prise de décisions, ont par exemple joué un rôle majeur lors de la victoire du programme informatique AlphaGo sur le joueur Lee Sedol. Mais AlphaGo a surtout démontré à quel point l’apprentissage par renforcement était une technique révolutionnaire : elle consiste à produire une action suivie d’un renforcement sous la forme d’une récompense. Des algorithmes basés sur l’apprentissage par renforcement sont déjà disponibles ; en 2018, ils seront mis au service des voitures autonomes en circulation et des machines robotisées dans les chaînes de production d’usine.
Dans l’année qui vient, l’IA va susciter beaucoup d’intérêt, et ce dans tous les secteurs d’activité. A l’horizon 2020, le marché de l’IA devrait peser 47 milliards de dollars. Mais quel sera le retour sur investissement pour les entreprises ? Equipée de systèmes d’IA et cognitifs, de solutions d’analytique du big data et d’apprentissage automatique, l’entreprise intelligente profitera de développements agiles pour mettre au point des applications dans le Cloud, mais aussi automatiser ses processus et ses tâches subalternes afin de gagner en efficacité et de passer au crible de véritables océans de données en quête d’enseignements très pointus qui éclaireront la prise de décisions.
#2. L’IoT, présent dans toutes les industries
L’Internet des objets (IoT) est en train de créer un gigantesque réseau mondial d’objets et de machines connectés, qui communiquent et partagent des données. Avec des milliards d’objets connectés à l’horizon 2020, ce marché devrait peser 14,4 milliards de milliards de dollars.
Si les effets de l’IoT ne se font pas encore ressentir, son impact potentiel est immense. Les progrès dans les biotechnologies connectées vont faire entrer le secteur de la santé dans une nouvelle ère, avec un suivi 24h/24, des thérapies ciblées et même des traitements médicamenteux délivrés automatiquement à la dose près. Dans les villes intelligentes, où tout sera connecté à l’IoT, les véhicules autonomes éviteront les accidents d’origine humaine, permettant de sauver un million de vies chaque année. Dans l’entreprise intelligente, l’IoT permettra à la chaîne d’approvisionnement d’être connectée de bout en bout, offrant ainsi une visibilité totale pour renouveler les stocks en baisse et assurer des opérations de maintenance prédictive. Avec l’IoT, la prise de décisions informées deviendra banale dans toutes les industries et dans nos quotidiens.
#3. Des véhicules autonomes, des robots et des drones !
Les algorithmes d’intelligence artificielle utilisés pour le renforcement de l’apprentissage serviront à piloter les véhicules autonomes, les robots et les drones.
D’après des prévisions, les voitures autonomes, sans conducteur, seront très répandues dans le monde entier à l’horizon 2025. Les plus grands constructeurs automobiles testent actuellement les voitures autonomes. Uber compte quant à lui disposer dès 2020 d’une flotte de véhicules volants dans le cadre de son service de taxi aérien sur lequel il planche en collaboration avec la NASA. Les camions autonomes transportant des marchandises devraient même sillonner les routes avant les voitures, transformant fondamentalement les secteurs du transport et de la logistique.
Les véhicules autonomes représentent une solution très attractive, car ils sont synonymes d’économies de carburant, de temps de livraison réduits et de vies humaines épargnées. Les générations futures n’auront peut-être plus besoin d’apprendre à conduire. Lorsqu’ils seront culturellement acceptés par tous, et une fois réglées les questions de définition des responsabilités, de protection de la vie privée et de conformité à la réglementation, aucun obstacle ne se dressera plus sur la route de ces technologies.
L’utilisation des drones va continuer de gagner du terrain, notamment pour la livraison de marchandises – médicaments dans les zones reculées, denrées alimentaires à destination du grand public, ou encore pièces détachées commandées par les fabricants. Par ailleurs, les drones intelligents aideront les agriculteurs à mieux surveiller leurs récoltes pour réagir dès que nécessaire.
Enfin, de nouveaux robots intelligents, tel que Baxter, seront capables de réfléchir seuls, mais aussi d’appréhender ce qui les entoure avec une précision accrue.
#4. L’essor des monnaies virtuelles et la révolution de la blockchain
En 2017, les monnaies virtuelles ont fait parler d’elles. On pense souvent au Bitcoin mais il en existe plus de 1 100 sur le marché. Parce qu’elles permettent de supprimer l’intermédiaire avec les institutions financières traditionnelles (et ainsi supprimer les frais et coûts associés aux transactions financières), les entreprises en relation directe avec leurs clients séduisent de plus en plus d’utilisateurs, de commerçants et d’investisseurs. Les entreprises sont toujours plus nombreuses à reconnaitre la légitimité des monnaies virtuelles. Depuis le début de l’année, la valeur du Bitcoin a bondi de 1000 %, et au Japon par exemple, 260 000 nouveaux commerçants prévoient d’accepter les paiements en bitcoins.
En matière de monnaie virtuelle, l’une des plus grandes innovations est sans conteste l’utilisation de la technologie blockchain. Son potentiel va bien au-delà du changement de notre mode d’échange et de gestion de la richesse. En reliant une chaîne d’informations archivées ou « blocs » impossibles à modifier, la blockchain a la capacité de créer des systèmes plus transparents et plus sûrs. Ses applications seront nombreuses : modes de transactions, renouvellement de passeports, vote, location de véhicules, paiement d’impôts et même mode d’identification personnelle. 2018 sera ainsi l’année de la blockchain, surtout dans les domaines de la sécurité et du chiffrage.
#5. Une cybersécurité de nouvelle génération
Le cyberespace est devenu le nouveau champ de bataille où l’on s’affronte à coup d’octets, de bits et de botnets. L’Internet des Botnets a ainsi vu le jour, un réseau mondial d’appareils corrompus que les pirates peuvent déployer ou louer auprès d’organisations criminelles. Une situation particulièrement déstabilisante compte tenu du fait qu’il existe déjà un botnet de l’IoT (surnommé « Reaper ») suffisamment puissant pour faire tomber tout l’Internet.
Les pare-feux et autres dispositifs de sécurité traditionnels ne suffisent plus. A l’heure où la bataille a lieu dans le cyberespace, de nouveaux outils sont nécessaires pour gérer ce type de problème d’une nature inédite. L’IA, le calcul quantique et le chiffrement quantique s’avèrent prometteurs pour contrer les cyberattaquants. L’IA (sous la forme de l’apprentissage automatique) permet de surveiller les réseaux et les appareils associés pour traquer et signaler la moindre anomalie en temps réel. L’informatique quantique permet de passer au crible plus de 150 000 menaces quotidiennes au sein du réseau d’une organisation afin d’identifier les événements les plus risqués, et la cryptographie quantique permet de garantir des communications sécurisées. Ces technologies émergentes redéfinissent la cybersécurité telle que nous la connaissons, et elles seront notre meilleur rempart face à des cyberattaquants toujours plus subtils.
#6. Des êtres super-intelligents, avec un QI de 1000 ?
Au fil du temps, l’être humain est devenu de plus en plus intelligent, notamment grâce aux ordinateurs, aux MOOC et aux connaissances acquises grâce à Internet. Dès lors, dans quelques décennies, nous pourrions bien être plus intelligents que Stephen Hawking ou Albert Einstein. Mais existe-t-il une limite à notre intelligence et à son potentiel ? Le QI atteindra-t-il un jour le chiffre de 1 000 ? La réponse est non, mais une machine pourrait y arriver.
Les technologies d’amélioration humaine (HET) et d’interfaçage entre le cerveau et la machine (BCI) vont accroître la capacité neuronale de stockage des informations. L’exocortex est un système de traitement externe qui permet de stocker et d’accéder à tout ce que nous avons lu, appris et vécu. Ces technologies, associées à l’apprentissage assisté par ordinateur, ouvriront la voie à des QI supérieurs à 1 000 points.
Si la super-intelligence va devenir partie intégrante de l’expérience humaine, quel sera le palier à partir duquel nos cerveaux pourront stocker, indexer et faire des recherches dans des mines d’informations bien plus vite que Google ?
Conclusion
Les technologies du futur et la magie sont parfois indissociables, et toute crainte est une entrave à l’imagination. Peu importe le secteur, les entreprises vont gagner en intelligence, et sera de plus en plus représentée par la génération Z.
En 2018, tout sera un peu plus intelligent : le Cloud, les points de bordure ou périphérie, les machines, l’automatisation, les chaînes d’approvisionnement, la sécurité et les clients…..
Mais le plus grand changement concernera les employés. A l’heure où les baby-boomers partent en retraite, les membres de la génération X s’intéressent au transfert de connaissances, les Millenials constituent la catégorie démographique dominante, et la génération Z se prépare à entrer dans le monde professionnel.
La génération Z incarnera le plus grand point de basculement générationnel jamais vu dans le monde du travail. Avec elle, l’hyper-connectivité va atteindre une toute autre dimension et son usage de la technologie la distinguera des autres générations. Lorsque ses membres entreront sur le marché du travail, ils arriveront avec leurs habitudes, leurs technologies et leur culture. Dans l’économie dite « des petits boulots », l’expérience compte plus que la formation, la viabilité l’emporte sur le marketing, et se démarquer importe plus que gagner de l’argent. L’entreprise intelligente sera fondée sur leurs croyances et leurs attentes.
A propos d’OpenText
OpenText contribue à la transformation digitale en permettant aux entreprises de tirer profit de l’information qu’elle soit gérée en interne ou dans le cloud.
#1. L’IA et l’entreprise intelligente
Dans les dix années à venir, la planète comptera 5 milliards d’utilisateurs connectés à Internet. Mille milliards de machines, soit bien plus que d’êtres humains, seront connectées et l’architecture dite de Von Neumann se verra remplacée par les calculateurs quantiques (Q2K et Qubit). D’ici 5 ans, le monde comptera 10 millions de programmeurs supplémentaires tandis que le travail effectué par les cols blancs sera accompli par des logiciels ou des machines.
Cette automatisation, indispensable pour pouvoir exprimer notre plein potentiel, sera alimentée par l’intelligence artificielle (IA). Des fonctionnalités de l’IA, par exemple celles de reconnaissance de comportements et d’aide à la prise de décisions, ont par exemple joué un rôle majeur lors de la victoire du programme informatique AlphaGo sur le joueur Lee Sedol. Mais AlphaGo a surtout démontré à quel point l’apprentissage par renforcement était une technique révolutionnaire : elle consiste à produire une action suivie d’un renforcement sous la forme d’une récompense. Des algorithmes basés sur l’apprentissage par renforcement sont déjà disponibles ; en 2018, ils seront mis au service des voitures autonomes en circulation et des machines robotisées dans les chaînes de production d’usine.
Dans l’année qui vient, l’IA va susciter beaucoup d’intérêt, et ce dans tous les secteurs d’activité. A l’horizon 2020, le marché de l’IA devrait peser 47 milliards de dollars. Mais quel sera le retour sur investissement pour les entreprises ? Equipée de systèmes d’IA et cognitifs, de solutions d’analytique du big data et d’apprentissage automatique, l’entreprise intelligente profitera de développements agiles pour mettre au point des applications dans le Cloud, mais aussi automatiser ses processus et ses tâches subalternes afin de gagner en efficacité et de passer au crible de véritables océans de données en quête d’enseignements très pointus qui éclaireront la prise de décisions.
#2. L’IoT, présent dans toutes les industries
L’Internet des objets (IoT) est en train de créer un gigantesque réseau mondial d’objets et de machines connectés, qui communiquent et partagent des données. Avec des milliards d’objets connectés à l’horizon 2020, ce marché devrait peser 14,4 milliards de milliards de dollars.
Si les effets de l’IoT ne se font pas encore ressentir, son impact potentiel est immense. Les progrès dans les biotechnologies connectées vont faire entrer le secteur de la santé dans une nouvelle ère, avec un suivi 24h/24, des thérapies ciblées et même des traitements médicamenteux délivrés automatiquement à la dose près. Dans les villes intelligentes, où tout sera connecté à l’IoT, les véhicules autonomes éviteront les accidents d’origine humaine, permettant de sauver un million de vies chaque année. Dans l’entreprise intelligente, l’IoT permettra à la chaîne d’approvisionnement d’être connectée de bout en bout, offrant ainsi une visibilité totale pour renouveler les stocks en baisse et assurer des opérations de maintenance prédictive. Avec l’IoT, la prise de décisions informées deviendra banale dans toutes les industries et dans nos quotidiens.
#3. Des véhicules autonomes, des robots et des drones !
Les algorithmes d’intelligence artificielle utilisés pour le renforcement de l’apprentissage serviront à piloter les véhicules autonomes, les robots et les drones.
D’après des prévisions, les voitures autonomes, sans conducteur, seront très répandues dans le monde entier à l’horizon 2025. Les plus grands constructeurs automobiles testent actuellement les voitures autonomes. Uber compte quant à lui disposer dès 2020 d’une flotte de véhicules volants dans le cadre de son service de taxi aérien sur lequel il planche en collaboration avec la NASA. Les camions autonomes transportant des marchandises devraient même sillonner les routes avant les voitures, transformant fondamentalement les secteurs du transport et de la logistique.
Les véhicules autonomes représentent une solution très attractive, car ils sont synonymes d’économies de carburant, de temps de livraison réduits et de vies humaines épargnées. Les générations futures n’auront peut-être plus besoin d’apprendre à conduire. Lorsqu’ils seront culturellement acceptés par tous, et une fois réglées les questions de définition des responsabilités, de protection de la vie privée et de conformité à la réglementation, aucun obstacle ne se dressera plus sur la route de ces technologies.
L’utilisation des drones va continuer de gagner du terrain, notamment pour la livraison de marchandises – médicaments dans les zones reculées, denrées alimentaires à destination du grand public, ou encore pièces détachées commandées par les fabricants. Par ailleurs, les drones intelligents aideront les agriculteurs à mieux surveiller leurs récoltes pour réagir dès que nécessaire.
Enfin, de nouveaux robots intelligents, tel que Baxter, seront capables de réfléchir seuls, mais aussi d’appréhender ce qui les entoure avec une précision accrue.
#4. L’essor des monnaies virtuelles et la révolution de la blockchain
En 2017, les monnaies virtuelles ont fait parler d’elles. On pense souvent au Bitcoin mais il en existe plus de 1 100 sur le marché. Parce qu’elles permettent de supprimer l’intermédiaire avec les institutions financières traditionnelles (et ainsi supprimer les frais et coûts associés aux transactions financières), les entreprises en relation directe avec leurs clients séduisent de plus en plus d’utilisateurs, de commerçants et d’investisseurs. Les entreprises sont toujours plus nombreuses à reconnaitre la légitimité des monnaies virtuelles. Depuis le début de l’année, la valeur du Bitcoin a bondi de 1000 %, et au Japon par exemple, 260 000 nouveaux commerçants prévoient d’accepter les paiements en bitcoins.
En matière de monnaie virtuelle, l’une des plus grandes innovations est sans conteste l’utilisation de la technologie blockchain. Son potentiel va bien au-delà du changement de notre mode d’échange et de gestion de la richesse. En reliant une chaîne d’informations archivées ou « blocs » impossibles à modifier, la blockchain a la capacité de créer des systèmes plus transparents et plus sûrs. Ses applications seront nombreuses : modes de transactions, renouvellement de passeports, vote, location de véhicules, paiement d’impôts et même mode d’identification personnelle. 2018 sera ainsi l’année de la blockchain, surtout dans les domaines de la sécurité et du chiffrage.
#5. Une cybersécurité de nouvelle génération
Le cyberespace est devenu le nouveau champ de bataille où l’on s’affronte à coup d’octets, de bits et de botnets. L’Internet des Botnets a ainsi vu le jour, un réseau mondial d’appareils corrompus que les pirates peuvent déployer ou louer auprès d’organisations criminelles. Une situation particulièrement déstabilisante compte tenu du fait qu’il existe déjà un botnet de l’IoT (surnommé « Reaper ») suffisamment puissant pour faire tomber tout l’Internet.
Les pare-feux et autres dispositifs de sécurité traditionnels ne suffisent plus. A l’heure où la bataille a lieu dans le cyberespace, de nouveaux outils sont nécessaires pour gérer ce type de problème d’une nature inédite. L’IA, le calcul quantique et le chiffrement quantique s’avèrent prometteurs pour contrer les cyberattaquants. L’IA (sous la forme de l’apprentissage automatique) permet de surveiller les réseaux et les appareils associés pour traquer et signaler la moindre anomalie en temps réel. L’informatique quantique permet de passer au crible plus de 150 000 menaces quotidiennes au sein du réseau d’une organisation afin d’identifier les événements les plus risqués, et la cryptographie quantique permet de garantir des communications sécurisées. Ces technologies émergentes redéfinissent la cybersécurité telle que nous la connaissons, et elles seront notre meilleur rempart face à des cyberattaquants toujours plus subtils.
#6. Des êtres super-intelligents, avec un QI de 1000 ?
Au fil du temps, l’être humain est devenu de plus en plus intelligent, notamment grâce aux ordinateurs, aux MOOC et aux connaissances acquises grâce à Internet. Dès lors, dans quelques décennies, nous pourrions bien être plus intelligents que Stephen Hawking ou Albert Einstein. Mais existe-t-il une limite à notre intelligence et à son potentiel ? Le QI atteindra-t-il un jour le chiffre de 1 000 ? La réponse est non, mais une machine pourrait y arriver.
Les technologies d’amélioration humaine (HET) et d’interfaçage entre le cerveau et la machine (BCI) vont accroître la capacité neuronale de stockage des informations. L’exocortex est un système de traitement externe qui permet de stocker et d’accéder à tout ce que nous avons lu, appris et vécu. Ces technologies, associées à l’apprentissage assisté par ordinateur, ouvriront la voie à des QI supérieurs à 1 000 points.
Si la super-intelligence va devenir partie intégrante de l’expérience humaine, quel sera le palier à partir duquel nos cerveaux pourront stocker, indexer et faire des recherches dans des mines d’informations bien plus vite que Google ?
Conclusion
Les technologies du futur et la magie sont parfois indissociables, et toute crainte est une entrave à l’imagination. Peu importe le secteur, les entreprises vont gagner en intelligence, et sera de plus en plus représentée par la génération Z.
En 2018, tout sera un peu plus intelligent : le Cloud, les points de bordure ou périphérie, les machines, l’automatisation, les chaînes d’approvisionnement, la sécurité et les clients…..
Mais le plus grand changement concernera les employés. A l’heure où les baby-boomers partent en retraite, les membres de la génération X s’intéressent au transfert de connaissances, les Millenials constituent la catégorie démographique dominante, et la génération Z se prépare à entrer dans le monde professionnel.
La génération Z incarnera le plus grand point de basculement générationnel jamais vu dans le monde du travail. Avec elle, l’hyper-connectivité va atteindre une toute autre dimension et son usage de la technologie la distinguera des autres générations. Lorsque ses membres entreront sur le marché du travail, ils arriveront avec leurs habitudes, leurs technologies et leur culture. Dans l’économie dite « des petits boulots », l’expérience compte plus que la formation, la viabilité l’emporte sur le marketing, et se démarquer importe plus que gagner de l’argent. L’entreprise intelligente sera fondée sur leurs croyances et leurs attentes.
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