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« Open banking, Impacts sur le financement de l’économie et perspectives », la nouvelle note du think tank, formule trois propositions pour démocratiser l’usage d’un système susceptible d’améliorer le financement de l’économie.
La Fondation Concorde consacre sa nouvelle note aux enjeux économiques de l’open banking, le système qui organise le partage de données clients, avec leur consentement, entre les banques et d’autres prestataires de services financiers. L’open banking peut en effet jouer un rôle dans les défis économiques de l’après-crise sanitaire car il permet notamment de baisser les coûts d’acquisition du crédit, de libérer des capacités additionnelles de financement, de faciliter le recouvrement et de mieux détecter les risques.
Réalisée par Luc Domergue, ingénieur et membre du Comité scientifique de la Fondation Concorde, et Timothée Waxin, économiste, cette note répond de façon claire, pragmatique, à un certain nombre de questions : comment assurer la sécurité et la confidentialité des données individuelles des clients ? Comment faire prévaloir une concurrence loyale entre les banques et les fintechs ? Dans quel sens faut-il faire évoluer la réglementation européenne de l’open banking pour améliorer le financement de l’économie, tout spécialement pour les particuliers et pour les TPE sans bousculer davantage nos systèmes financiers déjà passablement instables ?
Objet d’une polémique récente entre la Fédération Bancaire Française et l’association France Fintech, l’open banking s’adresse encore à un public essentiellement initié. Pourtant, il constitue un outil puissant dans la prévention du surendettement et donc de la précarité.
Pour démocratiser son usage et développer ses potentialités, la Fondation Concorde formule trois propositions dans sa note :
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La Fondation Concorde consacre sa nouvelle note aux enjeux économiques de l’open banking, le système qui organise le partage de données clients, avec leur consentement, entre les banques et d’autres prestataires de services financiers. L’open banking peut en effet jouer un rôle dans les défis économiques de l’après-crise sanitaire car il permet notamment de baisser les coûts d’acquisition du crédit, de libérer des capacités additionnelles de financement, de faciliter le recouvrement et de mieux détecter les risques.
Réalisée par Luc Domergue, ingénieur et membre du Comité scientifique de la Fondation Concorde, et Timothée Waxin, économiste, cette note répond de façon claire, pragmatique, à un certain nombre de questions : comment assurer la sécurité et la confidentialité des données individuelles des clients ? Comment faire prévaloir une concurrence loyale entre les banques et les fintechs ? Dans quel sens faut-il faire évoluer la réglementation européenne de l’open banking pour améliorer le financement de l’économie, tout spécialement pour les particuliers et pour les TPE sans bousculer davantage nos systèmes financiers déjà passablement instables ?
Objet d’une polémique récente entre la Fédération Bancaire Française et l’association France Fintech, l’open banking s’adresse encore à un public essentiellement initié. Pourtant, il constitue un outil puissant dans la prévention du surendettement et donc de la précarité.
Pour démocratiser son usage et développer ses potentialités, la Fondation Concorde formule trois propositions dans sa note :
- Finaliser et fiabiliser la mise en place d’API par les acteurs bancaires
- Intéresser les clients à l’open banking et les convaincre de partager leurs données bancaires
- Conduire des études d’impact de l’open banking sur le financement de l’économie
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