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Les Français travaillant à l’étranger regrettent davantage leur gastronomie que leurs amis


Ce que les expatriés français regrettent le plus ? Pas leurs amis… mais leur baguette !
Ce que les expatriés français regrettent le plus ? Pas leurs amis… mais leur baguette !
  • La gastronomie française (19 %) est ce qui manque le plus aux expatriés français, devant les amis et la famille (17 %) ;
  • Environ deux tiers ont manqué un événement important (anniversaire, mariage, funéraille) ;
  • Un répondant sur quatre (25 %) déclare économiser davantage et une personne sur cinq (21 %) se sent plus en sécurité financièrement ;
  • Un français sur cinq (21 %) juge cette expérience positive pour sa carrière et 18 % bénéficient du soutien de leur employeur ;
  • Près de 19 expatriés français sur cent déclarent avoir noué des relations plus solides avec de nouvelles personnes rencontrées à l’étranger ;
  • Près de la moitié (47 %) rencontrent des difficultés en matière de santé mentale ;

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bunq, la deuxième plus grande néobanque d’Europe, a interrogé plus de 5 000 expatriés européens, dont 1 000 français, pour éclairer les coulisses de cette vie nomade. Entre santé mentale fragilisée et économies, les relations personnelles ou encore l’accès au soin à l’étranger, le style de vie international présente son lot d’avantages et de challenges.

La gastronomie avant les amis

Quand on leur demande ce qu’il leur manque le plus en France, les “expats” français identifient la gastronomie en premier (19 %), devant les relations amicales (17 %) et moins de 10 % le système de santé français. La culture française, l’humour français ou encore l’ambiance des bars et des brasseries sont également cités tandis que seulement 4 % déclarent ne rien regretter de la France.

Des challenges sur les relations personnelles

L’expatriation et le travail à distance ont un impact contrasté sur les relations personnelles des français, tant sur le plan des amitiés que des événements marquants. Un quart déclare parler rarement ou plus du tout à leurs amis restés en France, tandis que moins d’une personne sur cinq (18 %) estime avoir construit de nouvelles relations plus fortes avec des personnes rencontrées à l’étranger. Cet éloignement influence également leur présence lors des moments importants, car 30 % confient avoir manqué l’anniversaire d’un proche, 18 % un mariage et 11 % des funérailles, pour autant, plus de deux personnes sur dix (22 %) déclarent n’avoir manqué aucun événement majeur.

Santé mentale, un défi collectif

La santé mentale et l’accès aux soins sont des défis majeurs pour de nombreux français travaillant à l’étranger. Près de la moitié des expatriés ayant répondu à l’étude (47 %) reconnaissent rencontrer des difficultés liées à la santé mentale, à l’inverse, un peu plus d’une personne sur quatre (27 %) ne ressent pas d’impact négatif sur son bien-être mental.

L’accès aux soins à l’étranger constitue également un enjeu important pour les français. Plus d’un quart (27 %) estiment que le système de santé local est pire qu’en France, et 18 % trouvent les soins plus difficiles d’accès. Cependant, ce sont tout de même 13 % des travailleurs internationaux qui estiment que la qualité des services de santé est au moins équivalente.

Un impact positif sur le travail, les économies et les nouvelles relations

Le mode de vie nomade influence à la fois le travail et les finances des Français concernés. Un français sur cinq (21 %) juge cette expérience positive pour sa carrière, et 18 % bénéficient du soutien de leur employeur. 12 % déclarent en tirer un avantage compétitif, tandis que 8 % exercent sans en informer leur entreprise.

Sur le plan financier, un quart déclare économiser davantage et 21 % se sentent plus en sécurité financière. C’est tout de même un français sur cinq (21 %) qui se sent moins en sécurité financière et 14 % qui constatent une hausse de leurs dépenses. Seulement 17 % ne perçoivent aucun impact.

Sur le plan des nouvelles relations locales, près de 19 expatriés français sur cent déclarent avoir noué des relations plus solides avec de nouvelles personnes rencontrées à l’étranger. Et même 9,45 %, confient que le meilleur aspect de la vie à l’international réside dans les amitiés qu’ils nouent.

« Chez bunq, nous avons vu de nos propres yeux les changements dans la façon dont les gens abordent le travail, les voyages et la vie. Il ne s'agit pas seulement de liberté, mais de la richesse de l'expérience. Les nomades numériques ne laissent presque rien derrière eux, ils créent quelque chose de nouveau. » explique Bianca Zwart, directrice de la stratégie chez bunq.

Classement des dépenses imprévues notables pour les français qui travaillent à l’étranger :

  • Taxes locales (16,47 %)
  • Frais bancaires (14,29 %)
  • Frais médicaux (14,22 %)
  • Frais de traitement des visas et/ou amendes (9,57 %)
  • Amendes culturelles (9,16 %)
  • Itinérance des données (9,09 %)
  • Réclamations assurance voyage (8,48 %)
  • Droits de douane (7,49 %)
  • Assistance juridique (6,49 %)
  • Évacuations d’urgence (4,65 %)

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À propos de bunq

Fondée en 2012 par l'entrepreneur en série Ali Niknam, bunq a apporté un changement durable au secteur bancaire européen. En plaçant ses utilisateurs au cœur de l'entreprise et en construisant un produit ancré dans leurs désirs et leurs besoins, bunq s'est rapidement développée pour devenir la deuxième plus grande néobanque de l'UE. Au service des personnes ayant un mode de vie international dans l'Espace économique européen, bunq facilite la vie des personnes et des entreprises indépendantes de leur lieu de résidence en commençant par la manière dont elles gèrent leur argent : comment elles dépensent, épargnent, établissent un budget et investissent.

Pionnière de nombreuses choses considérées comme impossibles, bunq a été la première banque à obtenir un permis bancaire européen en plus de 35 ans, a levé le plus grand tour de série A jamais obtenu par une fintech européenne (193 millions d'euros), et a été la première néobanque de l'UE à atteindre une rentabilité structurelle à la fin de 2022. Dans le cadre de sa mission visant à construire la première néobanque mondiale pour les personnes ayant un style de vie international, bunq a annoncé en avril 2023 sa candidature pour entrer sur le marché américain en demandant une licence bancaire


Mercredi 19 Mars 2025



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