Depuis 2010, le coefficient d’exploitation des banques d’investissement s’est ainsi dégradé de 7 points, à 72 %. - Shutterstock
Sur 613 start-up de la fintech, le BCG en a identifié 128 dédiées à la BFI, qui vont de la distribution de produits – le gros des bataillons – à la conformité, en passant par les services de recherche ; 49 % d’entre elles, spécialistes dans les services mobiles, les réseaux sociaux et le Big Data, peuvent changer le paradigme des banques d’investissement ; 38 % de ces start-up offrent des services à valeur ajoutée autour du CRM (gestion de la relation client), encore mal exploité, mais aussi de la détection de fraudes d’employés ou des cyber-risques. La dernière catégorie de ces jeunes entreprises sont des fournisseurs de données et d’analyses qui permettent des valorisations indépendantes de produits structurés, et qui aident donc les investisseurs à se passer des banques. Pour l’heure minoritaires (13 %), ils sont les plus menaçants pour les BFI. D’autant que, souvent lancés par d’anciens banquiers, ils connaissent les points faibles de leurs anciens employeurs.
Lire l'intégralité de l'article sur Les Echos.fr
Lire l'intégralité de l'article sur Les Echos.fr