Parmi les grands enseignements de cette nouvelle édition :
• Au 1er semestre 2020, 2,70 milliards d’euros ont été levés pour 360 opérations, avec un montant moyen de 7,5 millions d’euros.
• La levée la plus importante en France est de 182 millions d’euros.
• Le secteur ayant concentré le plus d’investissements en valeur (27%) est celui des Services Internet, avec un montant de 717 millions d’euros levés pour 75 opérations. Le secteur du Logiciel et Services Informatiques se place en seconde position en valeur, avec 670 millions d’euros levés et 84 opérations.
• Suivent ensuite les secteurs des Life Sciences, Fintech et Cleantech avec un montant d’1,3 milliard d’euros cumulés.
• Au 1er semestre de 2020 la région Ile-de-France a concentré 73 % des investissements en valeur. La région Auvergne-Rhône-Alpes arrive en seconde position avec 9 %, suivie par la région Occitanie France (5 %).
• Sur le plan européen, la France retrouve sa 2ème position derrière le Royaume-Uni et devant l’Allemagne. Dans ces deux pays, les baisses ont été beaucoup plus fortes en valeur, respectivement de 9 % et 20 %. En cause, des opérations de Growth Capital (levées supérieures à 100 millions d’euros) qui accusent une baisse en valeur de 80 % en Allemagne et 54 % au Royaume-Uni. En France, elles affichent en revanche une progression de 19 % en valeur. Sur le segment Venture Capital (levées inférieures à 100 millions d’euros), alors que la France voit ses investissements baisser de 9 %, ceux du Royaume-Uni et de l’Allemagne progressent respectivement de 28 % et 30 % en valeur.
« La FrenchTech a encaissé ce premier choc d’une violence extrême. Une partie de la résilience de l’écosystème est liées à la qualité des fondateurs de ces entreprises qui vivent au quotidien une volatilité extrême qui leur impose une agilité de tous les instants. Elle provient aussi des fonds d’investissement et du gouvernement qui ont pleinement joué leurs rôles afin de soutenir ces sociétés pendant cette période. Cette crise a déjà agi comme un révélateur et un accélérateur des tendances à l’œuvre dans nos sociétés. Elle a testé et testera encore dans les prochains mois l’équilibre et la résilience de l’écosystème français, et au-delà, son « antifragilité », c’est-à-dire sa capacité à réagir positivement à l’accroissement de la volatilité, de l’incertitude » commente Franck Sebag, Associé EY.
Plus d'informations : cliquez ici
• Au 1er semestre 2020, 2,70 milliards d’euros ont été levés pour 360 opérations, avec un montant moyen de 7,5 millions d’euros.
• La levée la plus importante en France est de 182 millions d’euros.
• Le secteur ayant concentré le plus d’investissements en valeur (27%) est celui des Services Internet, avec un montant de 717 millions d’euros levés pour 75 opérations. Le secteur du Logiciel et Services Informatiques se place en seconde position en valeur, avec 670 millions d’euros levés et 84 opérations.
• Suivent ensuite les secteurs des Life Sciences, Fintech et Cleantech avec un montant d’1,3 milliard d’euros cumulés.
• Au 1er semestre de 2020 la région Ile-de-France a concentré 73 % des investissements en valeur. La région Auvergne-Rhône-Alpes arrive en seconde position avec 9 %, suivie par la région Occitanie France (5 %).
• Sur le plan européen, la France retrouve sa 2ème position derrière le Royaume-Uni et devant l’Allemagne. Dans ces deux pays, les baisses ont été beaucoup plus fortes en valeur, respectivement de 9 % et 20 %. En cause, des opérations de Growth Capital (levées supérieures à 100 millions d’euros) qui accusent une baisse en valeur de 80 % en Allemagne et 54 % au Royaume-Uni. En France, elles affichent en revanche une progression de 19 % en valeur. Sur le segment Venture Capital (levées inférieures à 100 millions d’euros), alors que la France voit ses investissements baisser de 9 %, ceux du Royaume-Uni et de l’Allemagne progressent respectivement de 28 % et 30 % en valeur.
« La FrenchTech a encaissé ce premier choc d’une violence extrême. Une partie de la résilience de l’écosystème est liées à la qualité des fondateurs de ces entreprises qui vivent au quotidien une volatilité extrême qui leur impose une agilité de tous les instants. Elle provient aussi des fonds d’investissement et du gouvernement qui ont pleinement joué leurs rôles afin de soutenir ces sociétés pendant cette période. Cette crise a déjà agi comme un révélateur et un accélérateur des tendances à l’œuvre dans nos sociétés. Elle a testé et testera encore dans les prochains mois l’équilibre et la résilience de l’écosystème français, et au-delà, son « antifragilité », c’est-à-dire sa capacité à réagir positivement à l’accroissement de la volatilité, de l’incertitude » commente Franck Sebag, Associé EY.
Plus d'informations : cliquez ici